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Quel est, selon vous, le principal frein au développement de la basse vision en magasin ?

  1. Manque d’information et de formation (0%)
    👉 Aucun opticien n’a cité ce point comme frein principal.
    ➡️ Cela montre que les professionnels estiment avoir les connaissances de base ou qu’ils ne considèrent pas la formation comme la priorité bloquante.
  2. Manque de demande des patients (70%)
    👉 C’est de loin le frein majeur.
    ➡️ Cela signifie que beaucoup de clients ne connaissent pas les solutions basse vision ou ne pensent pas à les demander à leur opticien.
    📌 Interprétation : un déficit de communication auprès du grand public et des prescripteurs (ophtalmologistes, médecins, associations de malvoyants).
  3. Coût élevé des aides (20%)
    👉 Certains opticiens considèrent que le prix des loupes électroniques, télé-agrandisseurs et systèmes spécialisés limite leur adoption.
    ➡️ Ce frein est réel mais minoritaire comparé au manque de demande.
  4. Temps nécessaire pour l’adaptation (0%)
    👉 Aucun participant n’a retenu ce point.
    ➡️ Cela suggère que, pour les opticiens, la gestion du temps avec ces patients n’est pas vécue comme une barrière insurmontable.
  5. Autres (10%)
    👉 Quelques réponses spécifiques (ex. manque de remboursement, manque de partenaires médicaux, manque de communication institutionnelle).
    ➡️ Cela révèle des freins plus structurels ou locaux.

💡 Commentaires et enseignements

  • Le résultat principal (70 % manque de demande) indique que la sensibilisation est la clé. Les opticiens voient qu’ils pourraient proposer des aides, mais que les patients n’expriment pas de besoin explicite.
  • Les campagnes de communication, d’information et de dépistage en magasin pourraient être des leviers puissants.
  • Le frein financier (20 %) montre qu’un travail avec les distributeurs et sur des offres accessibles (ou financements/assurances) serait utile.
  • L’absence de poids du facteur “temps” est encourageant : cela signifie que les opticiens sont ouverts à consacrer du temps à la basse vision si la demande augmente.

Conclusion stratégique

La priorité pour développer la basse vision en magasin n’est pas la formation ni l’organisation interne, mais la création et la stimulation de la demande :

  • Sensibiliser le grand public aux solutions disponibles.
  • Travailler avec médecins et associations pour orienter les patients vers l’opticien.
  • Communiquer sur les bénéfices concrets (autonomie, confort, qualité de vie).

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Chirokind & Rehabilitation Clinic focuses on maintaining health for people of all ages, helping patients pain and prevent disease.

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