Sondage : Comment percevez vous les Franchises optiques en général ? La majorité des participants semblent ne pas avoir d’avis tranché sur les franchises optiques. Cela peut signifier : Un manque d’information ou de connaissance sur le sujet. Une expérience limitée avec les franchises. Une perception mitigée (ni clairement positive ni négative). Une part non négligeable des participants ont une perception favorable, bien que modérée : Cela montre une ouverture à l’idée des franchises, peut-être grâce à des expériences passables ou positives. Ils peuvent reconnaître certains avantages (standardisation, accessibilité, rapidité…). Très peu de personnes sont défavorables aux franchises : C’est un bon signe pour un projet de franchise : peu de résistance ou de méfiance. Cela montre que les critiques sont marginales, pas généralisées. Le terrain est plutôt favorable, mais il faut : Éduquer et sensibiliser davantage pour convertir les avis neutres en positifs. Communiquer sur les avantages concrets des franchises optiques (qualité, rapidité, prix, expertise…). Sur le même sujet :

Sondage auprès des Opticiens Marocains: Comment pérenniser son affaire ? Être: Opticien indépendant : 83,9 % Adhérent centrale d’achats : 6,5 % Franchisé national : 9,7 % Cela montre que la majorité des participants croient encore à l’indépendance comme modèle de pérennisation, même si cela peut être surprenant vu les avantages de la franchise ou des centrales d’achat. A la question :Comment percevez-vous les franchises optiques en général ? ☐ Très positivement (5%)☐ Plutôt positivement (30%)☐ Neutre (55%)☐ Plutôt négativement (10%)☐ Très négativement (0%) La majorité des répondants (55 %) ont une opinion neutre des franchises optiques. Cela peut indiquer un manque de différenciation perçue ou une absence d’image forte. 30 % ont une perception positive (très ou plutôt positivement), ce qui est encourageant. Seulement 10 % ont une perception plutôt négative, et aucune personne ne les perçoit très négativement. En France, le secteur de l’optique est composé d’environ 12 440 magasins, dont environ 49 % sont des opticiens indépendants. Ces indépendants réalisent environ 25 % du chiffre d’affaires total du marché de l’optique, tandis que les enseignes sous franchise ou chaînes captent environ 75 % du marché.

Sondage: En tant qu’opticien dirigeant, quelle est votre source de stress prioritaire ? Analyse: Le sondage présente trois sources de stress pour les opticiens dirigeants, avec un total de 16 votes répartis comme suit : Surcharge de travail : 1 vote Manque de trésorerie : 2 votes Incertitudes sur l’activité : 13 votes Analyse en pourcentage : Surcharge de travail : 6,25% Manque de trésorerie : 12,5% Incertitudes sur l’activité : 81,25% Interprétation : L’écrasante majorité des opticiens dirigeants ayant répondu au sondage considèrent que les incertitudes sur leur activité sont leur principale source de stress (81,25 %). En comparaison, la surcharge de travail (6,25 %) et le manque de trésorerie (12,5 %) semblent être des préoccupations beaucoup moins dominantes. Cela suggère que des facteurs comme l’évolution du marché, les réglementations ou la stabilité économique impactent fortement leur sérénité.

Sondage Un Client se présente avec une ordonnance d’un membre de sa famille. Donc manque la mesure des ( EIP)*: *EIP : écart interpupillaire Analyse : Je refuse et je demande au Client les (EIP) = 9.5% Je lui conseille la méthode miroir (Prise de mesure chez soi) = 19% Je conseille l’aide d’un ami ou smartphone = 52.4% Je lui conseille une application = 9.5% Je prends les mesures du Patient via Webcam = 9.5% Analyse : L’option « Je conseille l’aide d’un ami ou smartphone » est clairement préférée avec 52.4% des votes. Cela indique que les opticiens ou professionnels interrogés font davantage confiance à une aide humaine qu’à des solutions technologiques autonomes. Les autres options sont relativement dispersées et minoritaires. Solutions humaines (71.4%) : « Je conseille l’aide d’un ami ou smartphone » (52.4%) « Je refuse et je demande au Client les (EIP) » (9.5%) « Je prends les mesures du Patient via Webcam » (9.5%) Solutions technologiques (28.6%) : « Je lui conseille la méthode miroir » (19%) « Je lui conseille une application » (9.5%) ➡️ On constate que les participants préfèrent majoritairement les solutions basées sur une intervention humaine (71.4%), plutôt que des applications ou outils technologiques. 28.5% refusent ou demandent des EIP directement (9.5%) ou proposent une prise de mesure autonome (19%) 71.5% acceptent la commande en trouvant une solution alternative (aide d’un ami, application, webcam) ➡️ La majorité des opticiens semblent donc enclins à trouver une alternative pour éviter de refuser le client.Ces différentes interprétations montrent une préférence marquée pour l’intervention humaine dans la prise de mesure en l’absence des EIP.

Sondage: Comment évaluez-vous votre activité commerciale pendant le mois de Ramadan par rapport à d’autres périodes ? Analyse Conclusion et recommandations

Sondage auprès des Opticiens Marocains: Opticiens, quel principal moyen de transport utilisez-vous pour votre trajet domicile-travail ? – Voiture individuelle – Covoiturage – Bus/tram – Train – Vélo/trotinette/moto 1. La voiture individuelle domine (50%) La moitié des opticiens utilisent leur voiture pour aller au travail. Cela peut s’expliquer par plusieurs facteurs : L’accessibilité des magasins d’optique : Beaucoup sont situés en périphérie ou en zone commerciale, où les transports en commun sont moins pratiques. Des horaires flexibles : Les opticiens peuvent avoir des horaires décalés ou travailler dans différentes boutiques, ce qui favorise l’usage de la voiture. Le confort et la praticité : Transporter du matériel, éviter les intempéries et gagner du temps sont des arguments en faveur de la voiture. Un opticien sur quatre se rend à son travail à pied. Cela suggère que : De nombreux opticiens travaillent près de leur domicile, probablement en centre-ville. Les magasins sont bien implantés dans des zones urbaines accessibles. Certains employés privilégient une mobilité douce, peut-être par choix écologique ou économique. Seulement 5% utilisent le bus ou le tram, et 0% le train. Plusieurs explications possibles : Les transports en commun ne desservent pas toujours bien les magasins d’optique. Le temps de trajet et les correspondances peuvent être un frein. Ce mode de transport reste marginal, bien qu’il puisse être intéressant en ville pour éviter les embouteillages. Il pourrait gagner en popularité avec le développement des infrastructures cyclables. L’absence totale de covoiturage montre que les opticiens n’ont pas encore adopté cette pratique, peut-être par manque d’organisation ou parce qu’ils travaillent seuls dans leur boutique. Conclusion La voiture reste incontournable, mais 40% des opticiens vivent proche de leur travail et marchent. Les transports en commun et la mobilité douce sont encore peu utilisés, ce qui pourrait être une piste d’amélioration pour une transition vers des modes plus écologiques. Le covoiturage est absent, ce qui peut indiquer un besoin de sensibilisation ou de solutions adaptées.

Sondage auprès des Opticiens Marocains. L’activité commerciale durant le mois de Ramadan pourrait statistiquement chuter jusqu’à 40% ou augmenter suivant les années. Commercialement parlant, le Ramadan se manifeste par l’augmentation des achats alimentaires estimée à 40% en moyenne du budget d’un citoyen Marocain. Au niveau Optique , nous assistons à une chute estimée entre 30 et 40% sur les ventes. Néanmoins en 25 ans d’expérience dans le domaine , j’ai constaté qu’il y a des années où les ventes durant le Ramadan augmentent chez les opticiens ,les distributeurs et fabricants. La crise économique, le moral des ménages, une épidémie , une tension internationale ( guerres) , des problèmes sociaux….font balance entre augmentation et chute. Certains Opticiens essaient d’attirer leur clientèle par des promotions alléchantes et des actions commerciales compatibles avec ce mois sacré.Une manière de réduire l’impact de ce mois sur la trésorerie . Des Associations des Opticiens ( Union Profesdionnelle des Opticiens du Maroc par ex ) font du caritatif. Une première au Maroc chez les professionnels de la vue. @upo__union organise « CHAABANA » gala de charité 100% femme, le 14 Février 2025 à la salle lahmam 🌙✨ Les bénéfices de cet événement iront aux futures actions ramadan dédiées aux orphelins, handicapés . sur le même sujet:

Les avantages du respect des horaires Le respect des horaires de travail présente certains avantages indéniables. En imposant des horaires fixes, les opticiens peuvent s’assurer que les employés sont disponibles pendant les heures de travail. Cela facilite la Communication. et permet également de créer une routine pour les employés, ce qui peut être bénéfique pour certains d’entre eux en termes d’organisation et de gestion du temps. Les horaires fixes peuvent également contribuer à créer un sentiment d’équité au sein du point de vente. Ils assurent que tous les employés sont soumis aux mêmes règles et aux mêmes attentes en matière de présence. Les inconvénients du respect strict des horaires Bien que le respect strict des horaires puisse avoir des avantages, il présente également des inconvénients. Pour certains employés, surtout ceux qui ont des responsabilités familiales ou des contraintes personnelles, les horaires fixes peuvent être contraignants et difficiles à concilier avec leur vie personnelle. De plus, certaines tâches ou certains projets peuvent nécessiter un travail en dehors des heures de travail traditionnelles. Dans ces cas-là, des horaires plus flexibles peuvent permettre aux employés de s’organiser de manière plus efficace. Ils aident à mieux répondre aux exigences de leur poste Sondage auprès des opticiens Mes Horaires de travail en tant qu’opticien durant le mois de Ramadan sont: Ouverture 9 h 30 (5%) 10 h 00 (60%) 10 h 30 (25%) 11 h 00 (10%) Fermeture 15 h 00 (0%) 16 h 00 (12%) 16 h 30 (15%) 17 h 00 (73%) 10 h 00 à 17 h 00 Horaires choisis par plus que la moitié des Opticiens marocains. N.B: Les horaires de travail dans les administrations, les établissements publics et les collectivités territoriales connaîtront un changement durant le mois sacré du Ramadan par l’adoption de l’horaire continu de 09h00 à 15h00.

Les rapports avec vos ophtalmos sont généralement 1- Excellents 2- Courtois 3- Distants Résultat Au Maroc : 1- Excellents ( 15 %) 2- Courtois ( 20%) 3- Distants (65%) Résultat en France : 1- Excellents ( 25%) 2- Courtois ( 25%) 3- Distants (50%) On ne le dira jamais assez : les opticiens doivent soigner leurs relations avec les ophtalmologistes. Ils doivent chercher à se poser en interlocuteurs privilégiés des médecins dont ils peuvent être appelés à devenir, demain, des relais sur le terrain, par exemple pour ce qui concerne la contactologie et la basse vision. Je m’explique : force est de constater que la démographie des médecins décline chaque année davantage alors que les besoins visuels, eux, augmentent toujours plus. Le seul schéma d’avenir possible c’est donc celui de la coopération renforcée entre les « 3 O », ophtalmos, orthoptistes et opticiens. Tous les médecins sont-ils enclins à travailler étroitement avec les opticiens ? Oui et non, tout dépend des générations, comme l’indiquent les études. Moins de 30 % des ophtalmos âgés de plus de 60 ans y sont favorables. En revanche, la disposition au rapprochement avec les professionnels de santé que sont les opticiens est beaucoup plus élevée chez les 30-44 ans : les praticiens de cette tranche d’âge se déclarent prêts à collaborer avec les opticiens pour 43 % d’entre eux. On le voit, il y a clairement une différence de perception entre les jeunes et les aînés. Si on se projette à court terme, cela veut dire que l’opticien d’aujourd’hui sera d’ici quelques années perçu par la nouvelle génération de prescripteurs comme un prestataire de santé visuelle à part entière. Dans cette perspective, on ne saurait trop conseiller aux opticiens de se former encore et encore et de se spécialiser, à travers un cursus post-BTS ou dans le cadre de la formation continue. Investir dans le développement d’une expertise – adaptation en lentilles, prise en charge de la basse vision, compétences solides en réfraction, etc. – est le prérequis de toute relation de confiance avec l’ophtalmologiste qui veut pouvoir compter sur un référent à la fiabilité éprouvée. Pour l’opticien, cette qualification renforcée est un élément différenciateur face à la concurrence. Et pour le médecin, c’est gage de sérieux et de crédibilité au moment où il doit décider d’orienter sa patientèle. Bref, tout principe de recommandation repose sur ce lien de confiance qui s’entretient au quotidien et sur le long terme.

Le Maroc connaît effectivement une augmentation notable du nombre d’opticiens formés ces dernières années, ce qui peut être attribué à plusieurs facteurs : Ce phénomène peut avoir des répercussions sur la qualité du service, la viabilité économique des opticiens existants et la perception globale de la profession. Une régulation plus stricte de la formation et une meilleure planification des besoins du marché pourraient aider à résoudre ce problème. Selon les données disponibles, le Maroc comptait environ 5 500 opticiens en 2023. Avec une population estimée à 36 828 330 habitants au 1er septembre 2024, cela correspond à un ratio d’environ un opticien pour 6 700 habitants. Ce ratio a évolué au fil des ans. Par exemple, en 2021, il était estimé à un opticien pour 13 000 habitants. Cette évolution suggère une augmentation significative du nombre d’opticiens par habitant au Maroc ces dernières années. Sondage : Croyez vous que trop d’Opticiens soient formés au Maroc? – Oui ( 20%) – Non ( 55%) – Sans opinion ( 25%) Par le biais des journaux, les opticiens marocains ont signalés à maintes reprises l’absence de réglementation et de supervision dans leur secteur. Ils accusent le gouvernement d’être responsable des risques pour la santé et la sécurité des citoyens, en raison du laxisme face aux pratiques non professionnelles. Les opticiens insistent sur la nécessité d’une formation adéquate et d’un cadre législatif clair pour protéger les consommateurs. Actuellement, des individus non qualifiés exercent dans le domaine, mettant en danger la santé visuelle des Marocains. Une intervention est urgente des autorités pour organiser et réguler ce secteur vital.