Sondage auprès des Opticiens Marocains:
Opticiens, quel principal moyen de transport utilisez-vous pour votre trajet domicile-travail ?
- -À pied
– Voiture individuelle
– Covoiturage
– Bus/tram
– Train
– Vélo/trotinette/moto
1. La voiture individuelle domine (50%)
La moitié des opticiens utilisent leur voiture pour aller au travail. Cela peut s’expliquer par plusieurs facteurs :
L’accessibilité des magasins d’optique : Beaucoup sont situés en périphérie ou en zone commerciale, où les transports en commun sont moins pratiques.
Des horaires flexibles : Les opticiens peuvent avoir des horaires décalés ou travailler dans différentes boutiques, ce qui favorise l’usage de la voiture.
Le confort et la praticité : Transporter du matériel, éviter les intempéries et gagner du temps sont des arguments en faveur de la voiture.
- 2-Une forte proportion de marcheurs (40%)
Un opticien sur quatre se rend à son travail à pied. Cela suggère que :
De nombreux opticiens travaillent près de leur domicile, probablement en centre-ville.
Les magasins sont bien implantés dans des zones urbaines accessibles.
Certains employés privilégient une mobilité douce, peut-être par choix écologique ou économique.
- 3- Une faible utilisation des transports en commun (5%)
Seulement 5% utilisent le bus ou le tram, et 0% le train. Plusieurs explications possibles :
Les transports en commun ne desservent pas toujours bien les magasins d’optique.
Le temps de trajet et les correspondances peuvent être un frein.
- 4-Vélo, trottinette et moto : encore minoritaires (5%)
Ce mode de transport reste marginal, bien qu’il puisse être intéressant en ville pour éviter les embouteillages. Il pourrait gagner en popularité avec le développement des infrastructures cyclables.
- 5-Le covoiturage inexistant (0%)
L’absence totale de covoiturage montre que les opticiens n’ont pas encore adopté cette pratique, peut-être par manque d’organisation ou parce qu’ils travaillent seuls dans leur boutique.
Conclusion
La voiture reste incontournable, mais 40% des opticiens vivent proche de leur travail et marchent.
Les transports en commun et la mobilité douce sont encore peu utilisés, ce qui pourrait être une piste d’amélioration pour une transition vers des modes plus écologiques.
Le covoiturage est absent, ce qui peut indiquer un besoin de sensibilisation ou de solutions adaptées.


