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Category: Espace Opticien

Les défauts visuels

LES PRINCIPAUX DÉFAUTS VISUELS LA MYOPIE Ce principal défaut de la vision touche la moitié des porteurs de lunettes. Le myope ne voit net qu’à une distance très proche (quelques centimètres). L’œil d’un myope est en effet trop long, ou trop puissant. L’image ne se forme pas sur la rétine (partie sensible de l’œil) mais trop en avant. L’image recueillie par la rétine est donc floue. Les prescriptions des lentilles ou des lunettes corrigeant la myopie s’écrivent avec un signe « moins » : exemple : œil droit : – 3, 00 ; œil gauche : – 2,25  L’HYPERMÉTROPIE  Ce défaut visuel présent naturellement chez l’enfant disparaît souvent lors de la croissance. Il se traduit par une gêne importante de près et une fatigue visuelle.  L’œil hypermétrope est en effet trop court, ou pas assez puissant. L’image se forme en arrière de la rétine et non pas sur celle-ci. La vision est nette de loin et demande un effort de près. Le cristallin se déforme et ramène  l’image sur la rétine (on parle d’accommodation).  Les ordonnances pour hypermétropes possèdent un signe « plus » :  exemple : œil droit + 1,50 ; œil gauche : + 2,75  L’ASTIGMATISME L’astigmatisme apparaît dès la naissance, même si on le diagnostique souvent lors de l’apprentissage de la lecture. La vision de l’astigmate est déformée à toutes les distances. De loin comme de près, l’astigmate rencontre des difficultés pour apprécier les détails, identifier les lettres ou les visages par exemple. Ce phénomène s’explique majoritairement par un défaut de surface de la cornée (lentille antérieure de l’œil). L’image formée sur la rétine se forme en deux points différents. La prescription d’une correction astigmate comprend deux données chiffrées et un axe en degrés. Exemple : œil droit : + 0,50 (-1,00) 80° ; œil gauche : -1,00 (+0,50) 55° LA PRESBYTIE (n’est pas un défaut) La presbytie est un phénomène naturel qui nous concerne tous à partir de la quarantaine. On ressent alors une gêne en vision de près, voire en vision de loin, selon son défaut visuel. La presbytie est due à une perte de souplesse du cristallin. L’œil ne parvient plus à faire le point comme avant. Chez les porteurs de lunettes, la presbytie s’ajoute au défaut visuel déjà présent (myopie, hypermétropie, astigmatisme). Dans ce cas, nous vous conseillons des lentilles ou des verres progressifs, afin de voir net à toutes distances. Ceux qui ont la chance de ne pas avoir de défaut visuel, peuvent utiliser des lunettes de près simples ou des verres de vision intermédiaire pour la lecture et l’ordinateur. Une prescription pour presbyte mentionne l’addition, souvent notée derrière un signe « plus » Exemple d’un myope presbyte : Œil droit : -3,00 add + 2,00 Lopticomaroc-11 sep 2019-RAOUAK

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La coloration des verres ophtalmiques

Pour créer des verres solaires, on peut certes utiliser des matières déjà teintées dans la masse, mais dans ce cas, la densité a tendance à varier avec l’épaisseur du verre (un verre concave risque d’être un peu plus clair au centre qu’au bord par exemple et l’inverse sur un convexe). On réserva donc souvent ces matières teintées dans la masse pour les verres PLAN (verres sans correction). La coloration des verres a généralement pour but de limiter la quantité de lumière qui rentre dans l’œil soit pour des raisons de confort soit comme protection solaire mais elle a aussi un rôle esthétique très important. Les fabricants proposent de nombreuses couleurs différentes, des plus classiques (le gris et le brun) aux plus “fun” (jaune, orange, vert violet,…). On peut déterminer 3 grands types de colorations : Colorations unies (Solid tints) La teinte et la densité sont uniformes sur toute la surface du verre. Colorations dégradées (Graduated tints) La teinte et/ou la densité varie du haut vers le bas. Généralement plus foncée en haut et plus clair en bas. On peut aussi trouver sur le marché des dégradés bicolores ou des bi-dégradés. Colorations médicales (Medical tints) Utilisées dans le cas de certaines maladies oculaires comme la rétinopathie diabétique, la rétinopathie pigmentaire, etc, elles ont pour but de filtrer des longueurs d’ondes spécifiques. Colorations solaires et protection UV Ce n’est pas parce qu’une teinte est très foncée qu’elle protège réellement du soleil. Pour cela, le verre doit aussi filtrer les UV et ce n’est pas la coloration qui les filtre. Pour cela, il faut dans certains cas ajouter un traitement de protection UV. Ce type de traitement utilise la même technique que la coloration des verres organiques. Cependant, certaines matières ont déjà la propriété bien de filtrer les UV. Les matières d’indice 1.6, 1.67 et le polycarbonate sont d’excellents filtres aux UV alors que le CR39 n’a pas cette propriété. Catégories de coloration et restriction d’usage Tous les verres teintés ou colorés sont classifiés en 4 catégories suivant leur niveau d’absorption (sur l’ensemble du spectre visible) : Catégorie 0 : Absorption entre   0% et 19%. Teintes de confort ou esthétiques. Catégorie 1 : Absorption entre 20% et 57%. Teintes de confort ou esthétiques Catégorie 2 : Absorption entre 58% et 82%. Teintes solaires (ensoleillement moyen) Catégorie 3 : Absorption entre 83% et 92%. Teintes solaires pour forte luminosité (plein soleil) Catégorie 4 : Absorption entre 93% et plus. Teintes solaires pour très forte luminosité (pour la montagne par ex.) Certaines colorations sont interdites à la conduite, soit parce qu’elles absorbent certaines couleurs (longueurs d’ondes) nécessaires à la reconnaissance des signaux routier (certaines colorations bleues pas exemple), soit simplement parce que leur absorption est trop importante (les verres de catégories 4 en particulier). Principes de coloration La coloration des verres minéraux est obtenue par vaporisation sous vide (comme pour les antireflets) d’un produit absorbant la lumière. Les colorations des verres minéraux sont souvent limitées aux couleurs grises et au brun. La coloration des verres organiques est obtenue en trempant les verres dans des bains de colorants chauffés à 95%. Les colorants sont généralement obtenus en mélangeant des teintures en poudre dans de l’eau. La teinte pénètre de quelques microns dans la matière et la densité est obtenue par le temps de trempage dans le colorant. Ce temps varie de quelques secondes à plusieurs heures. Les matières plastiques n’absorbent pas toujours la teinte et dans ce cas, on peut parfois teinter le traitement durci mais une certaine limite pour ne pas les dégrader. Pour réaliser les colorations dégradées, on trempe la moitié en haut du verre, avec un mouvement de va-et-vient pour obtenir le dégradé sans marquer de démarcation brutale. Des appareils permettent de simuler ce mouvement en y introduisant une petite variation aléatoire. D’un verre à l’autre, la teinte ne pénètre pas toujours de la même manière. On peut tremper deux verres identiques dans le même bain et les ressortir avec une différence de couleur ou de densité importante. Les opérateurs de coloration, sont capable de retoucher les verres en les trempant dans d’autres couleurs de bain pour parfaitement appairer la teinte des deux verres d’une paire. Les colorations sont contrôlées souvent uniquement à l’oeil, par comparaison avec des étalons. Il faut donc une grande expérience (et une parfaite vision des couleurs) pour réaliser des colorations avec une certaine constance. Lopticomaroc-13 sep 2019-RAOUAK

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Fabrication spéciale ou Suppléments

Sur les verres de lunettes, on peut réaliser différentes fabrications spéciales (ou options de fabrication). Cette page décrit les principales fabrications spéciales et leurs applications. La liste ci-dessous n’est pas exhaustive et d’un fabricant à l’autre, il peut exister quelques différences dans la manière de les nommer et de les réaliser. Lopticomaroc-12 sep 2019- RAOUAK

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Les différentes géométries du verre optique

En optique ophtalmique, chaque géométrie du verre correspond à un besoin bien particulier pour le porteur des lunettes. En effet il existe 3 géométries à savoir : Les verres uni focaux ; Les verres bifocaux, les verres progressifs. Verre bifocal Dans un verre bifocal, une sphère de vision de loin de grand rayon et une sphère de vision de près de petit rayon sont juxtaposées et reliées par une simple marche qui crée une ligne de séparation visible (figure 1). Verre unifocal La surface d’un verre unifocal consiste en une sphère de rayon approprié générant une correction pour la vision de près seulement (figure 2).Puisque le verre focalise l’oeil au près, la vision est floue dès que le porteur lève les yeux pour regarder de loin.De plus, ce verre n’offre pas de correction spécifique pour la vision intermédiaire dont le porteur ne profitera que tant que son amplitude d’accommodation sera suffisante . Verre progressif Un verre progressif est un verre dont la puissance augmente de manière continue entre le haut et le bas, entre une zone supérieure destinée à la vision de loin et une zone inférieure destinée à la vision de près. Cette progression est obtenue par une variation continue de la courbure du verre. Dans un verre progressif, la courbure augmente de manière continue entre la zone de vision de loin et la zone de vision de près offrant une vision nette à toutes les distances intermédiaires.Elle est obtenue par une succession de courbes horizontales qui s’échelonnent, sans séparation visible, depuis la zone supérieure de vision de loin jusqu’à la zone inférieure de vision de près en passant par une zone intermédiaire (figure 3).Le porteur bénéficie ainsi d’une vision continue depuis le loin jusqu’au prés.Les verres progressifs ont aussi un dérivé à savoir les verres dégressifs, appelé aussi verres à profondeur de champs ou verres de proximité.Ils ont pour but de corriger en priorité la vision de près (ou parfois la vision intermédiaire) avec une puissance dégressive vers le haut du verre.Le produit a généralement une dégression fixe de 0.75, 1.25 ou 1.50 dioptrie selon le produit. Lopticomaroc-11 sep 2019- RAOUAK

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Les traitements de surfaces

Différents traitements peuvent être appliqués sur la surface des verres de lunettes. Ils permettent d’améliorer le confort visuel et la qualité de vision. En voici la liste avec leurs avantages : • Le traitement anti-reflets Il supprime les reflets parasites – pratique pour conduire une voiture ou lorsqu’on travaille sur un ordinateur – et permet d’améliorer la perception des contrastes. Il supprime l’effet brillant du verre, donc il permet également aux autres de mieux voir votre regard. C’est un traitement de confort mais aussi esthétique, il donne plus de transparence aux verres, il améliore la vision en supprimant l’éblouissement. Avantages : Diminution de la fatigue oculaire et disparition des maux de têtes provoqués parfois par les reflets des verres. Le traitement anti-salissure ou hydrophobe Le traitement antisalissure rend la surface du verre des lunettes anti adhérente : les perles d’eau roulent sur la surface et les traces de gras (nos empreintes) n’ont pas prise. Avantages : Une plus grande transparence des verres et un nettoyage plus facile. Le traitement anti-rayures (ou durci) Le traitement durcisseur consiste à appliquer un vernis sur les verres afin d’augmenter leur résistance aux rayures et aux frottements. Cette couche de protection permet ainsi d’augmenter la durée de vie des verres. Seuls les verres organiques et polycarbonates en ont besoin, les verres minéraux résistent naturellement aux rayures. Avantage : la durée de vie des verres de lunettes est allongée. Le traitement anti lumière bleue. Particulièrement préconisé pour les personnes passant beaucoup de temps sur ordinateur ou sur les écrans LED, il permet de filtrer les rayons nocifs de la lumière bleue. Les verres ont une teinte jaune ou brune plus ou moins prononcée suivant le taux de filtrage. Il est toujours associé à un traitement antireflets. En savoir plus sur les verres anti lumière bleue. Le traitement polarisant Il supprime les reflets éblouissants qui n’ont pas d’utilité visuelle et améliore la perception des contrastes. Ils sont très utiles lorsque la réverbération est importante et parfaits pour la conduite et les sports extérieurs (vélo, ski, sports nautiques). Ils sont parfaits également pour les personnes qui perçoivent mal les contrastes ou qui ont des yeux fragilisés par l’âge ou par une opération. Avantages : protection des UV et une meilleure perception des reliefs et des contrastes, un plus grand confort dans les zones à forte réflexion (mer, montagne, route…). Le traitement photochromique Ces verres sont aussi appelés verres à teinte variable. le traitement photochromique permet au verre des lunettes de foncer ou de s’éclaircir progressivement selon la luminosité. Les verres s’obscurcissent sous l’effet du rayonnement UV et s’éclaircissent sous l’effet de la chaleur. Ils seront très utiles aux personnes qui sont gênées par la lumière ambiante. Avantages : il permet de réduire l’éblouissement et protéger vos yeux contre les UV. Le traitement antibuée Mis sur le marché pour la première fois en 2011 par la marque Essilor, les verres OPTIFOG® possèdent une nouvelle couche aux propriétés antibuée qui s’activent par l’application d’un concentré spécifique. En savoir plus sur les verres antibuée optifog Le traitement amincissant Il est utilisé pour les fortes corrections : pour son l’aspect esthétique (diminution de 30% de l’épaisseur du verre),et aussi parcequ’il améliore la vison optique. Ce traitement est préconisé pour optimiser l’esthétique des verres à fortes corrections (myope ou hypermétrope) et il est également recommandé pour les montures demi-cerclées et invisibles. Verres teintés et UV La protection UV dépend de la matière du verre et non de sa teinte qui protège contre l’éblouissement. Après vous être assuré que le marquage CE figure bien sur la monture ou sur les verres, faites votre choix en fonction de vos activités et de votre goût. Il existe en effet cinq catégories de verres solaires qui offrent divers niveaux de protection (classes de 0 à 4). Trois couleurs dominent le marché. Le brun qui améliore les contrastes, le gris idéal pour la restitution des couleurs et le gris-vert pour un usage quotidien. Lopticomaroc-10 sept 2019- RAOUAK

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Le surfaçage des verres ophtalmiques

Avec votre ordonnance, votre opticien passe commande à un laboratoire afin de procéder à la fabrication des verres. Là, les ingénieurs utilisent un verre semi-fini (verre dont seule la face avant présente une correction) pour fabriquer le verre commandé. Après une phase de préparation, le verre passe par plusieurs phases : – Le détourage : le verre est découpé pour correspondre au diamètre commandé -L’ébauchage : le verre est courbé en fonction de la correction nécessaire – Le doucissage : la surface du verre est affinée – Le polissage : phase durant laquelle le verre devient transparent et obtient ses qualités optiques Les verres sont ensuite contrôlés scrupuleusement afin de s’assurer qu’ils correspondent bien à la commande. Dans ce processus, on part d’un semi fini qui peut être Unifocal, Multifocal ou Progressif selon le type de verre à réaliser. Un semi fini est un palet en verre ou en matière organique dont la surface frontale est déjà terminée et optiquement polie. Les semi fini sont relativement épais pour permettre de réaliser une gamme de puissance la plus large possible. Les étapes de surfaçage d’un verre optique sont : La plastification Cette opération a pour but de protéger la face frontale du verre qui est déjà terminée. Elle consiste à coller sur la surface du verre un film plastique de protection (souvent de couleur bleue ou verte) il est possible d’utiliser aussi un film de protection soluble.   Glantage ou blocage Le glantage a pour but de réaliser un support mécanique pour maintenir le verre sur les différentes machines d’usinage. Cette opération doit aussi positionner correctement le verre (centrage, orientation et inclinaison). Le principe consiste à couler entre la molette et le verre un alliage métallique qui fond à 50°C.   Lopticomaroc-9 sep 2019-RAOUAK

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L’indice d’épaisseur des verres de lunettes

De nos jours les verres correcteurs sont presque tous fabriqués en matière organique, soit en plastique et non plus en verre minéral comme ce fût le cas il y a quelques dizaines d’années. Il existe plusieurs types de plastiques utilisés pour la fabrication des verres ophtalmiques et chaque type possède un indice de réfraction qui lui est propre. Pour simplifier nous pouvons dire qu’un indice d’épaisseur (de réfraction) correspond à un matériau. Les indices les plus courants sont 1.50, 1.60, 1.67 et 1.74. La règle est simple : plus l’indice est élevé et plus le verre sera mince et léger. Si les données de corrections indiquées sur l’ordonnance sont fortes et importantes, un indice d’amincissement élevé est conseillé. Plus l’indice d’épaisseur est élevé et plus le taux de déviation de la lumière sera important.  Les verres dits “minéraux” (fabriqués en véritable verre),  offrent des possibilités de fabrication plus larges et proposent des indices d’amincissement plus élevés, de 1.80 ou 1.90. Mais ils sont très coûteux, lourds et fragiles. Ils sont donc réservés à des cas spécifiques, comme par exemple des corrections extrêmement fortes. Quel amincissement choisir en fonction de votre correction ? > Indice 1.50 Les verres d’indice 1.50 sont les plus courants. Fabriqués en plastique organique CR39 ils conviennent aux petites corrections de l’ordre de ±2. Ce matériau n’étant pas très dur le montage de verres d’indice 1.50 sur des montures de type invisibles (percées) est fortement déconseillé car cela rendrait la lunette très fragile. Raison pour laquelle vous ne trouverez pas de verres 1.50 proposés sur les montures invisibles . > Indice 1.60 Les verres amincis en indice 1.60 sont fabriqués en plastique organique MR8. Ils conviennent parfaitement aux corrections moyennes de l’ordre de ±4. Ils sont compatibles avec tout type de montures, y compris les montures invisibles ou percées. Pour une correction donnée, les verres amincis d’indice 1.60 permettent un gain d’épaisseur d’environ 20% par rapport aux verres normaux d’indice 1.50. > Indice 1.67 Les verres très amincis d’indice 1.67 sont généralement fabriqués en plastique organique MR7 ou MR10. Ils conviennent particulièrement  aux corrections fortes de l’ordre de ±6. Ils sont compatibles avec tout type de montures, y compris les montures invisibles ou percées. Pour une correction donnée, les verres amincis d’indice 1.67 permettent un gain d’épaisseur d’environ 35% par rapport aux verres normaux d’indice 1.50. > Indice 1.74 Les verres très amincis d’indice 1.74 sont généralement fabriqués en plastique organique MR174. Ils doivent être utilisés pour les corrections très fortes, supérieures à 6 dioptries. Le matériau MR174 n’étant pas très dur le montage de verres d’indice 1.74 sur des montures de type invisibles (percées) est fortement déconseillé car cela rendrait la lunette très fragile. Raison pour laquelle vous ne trouverez pas de verres 1.74 proposés sur les montures invisibles . Pour une correction donnée, les verres amincis d’indice 1.74 permettent un gain d’épaisseur d’environ 45% par rapport aux verres normaux d’indice 1.50. Comment faire le bon choix ? Comme expliqué ci-dessus, le choix dépend principalement de votre correction : Correction faible de -2 à +2 : indice 1.50 Correction moyenne de -4 à +4 : indice 1.60 Correction forte de -6 à +6 : indice 1.67 Correction très forte supérieure à 6 : indice 1.74 Sachez toutefois qu’il est inutile de choisir un indice d’amincissement élevé si votre correction ne le justifie pas. En effet, les procédés de fabrication font qu’une épaisseur minimale est toujours nécessaire. par exemple si votre correction est de -1.00, vous aurez quasiment la même épaisseur en indice 1.50 et en indice 1.74. Lopticomaroc-08 sept 2019- RAOUAK

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Matériaux des verres ophtalmiques

TVX 153 (Trivex) Env. 20% plus mince que l’ORGA 150 Le plus léger des matériaux pour verres correcteurs Idéal pour les verres à percer Env. 12 fois plus résistant que l’ORGA 150 Indice de réfraction proche de celui du CR39, mais peut être produit avec une épaisseur plus faible Très grande résistance aux chocs – convient parfaitement pour les lunettes de sécurité et de sport Résistance chimique aux solvants Doté de très bonnes propriétés optiques Avec une densité de 1,11 g/cm3 il constitue le matériau le plus léger pour la fabrication de verres correcteurs Robuste et résistant – facile à percer, à rainurer et à tailler Se différencie du verre standard ORGA 150 en étant nettement plus léger et plus résistant Systématiquement protégé par une couche durcie Ne peut pas être teinté Lopticomaroc-06 sept 2019

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Détermination du diamètre d’un verre ophtalmique

A partir des cotes monture, des écarts et hauteurs de montage, on peut déterminer le diamètre minimum nécessaire. Plusieurs méthodes sont possibles : Utilisation des plaquettes de montage Les laboratoires de surfaçage fournissent aux opticiens des plaquettes permettant de déterminer le diamètre du verre. On place la monture sur la plaquette en la positionnant suivant les écarts et hauteurs de montage. On peut alors lire directement le diamètre minimum nécessaire. Les plaquettes de montage sont spécifiques à chaque produit. Détermination approximative du diamètre par calcul Le principe consiste à ne tenir compte que du décentrement horizontal entre le centre du verre et le centre du calibre (comme si la pupille était sur l’axe boxing). Soit EM      : l’écart monture RPD    : Le demi-écart montage D         : La plus grande diagonale du calibre On obtient le diamètre mini nécessaire (approximatif) pour le verre droit, par la formule :   Dia »   EM + D – 2 * RPD Exemple pour un écart monture EM = 72, une diagonale calibre D = 55 et un demi-écart montage RPD = 30, on obtient un diamètre (72 + 55 – 60 = 67 mm). Attention, dans le cas d’un produit décentré, il s’agit du diamètre apparent (diamètre coté temporal), Dans l’exemple, un verre 65/70 est suffisant. Il est conseillé de garder 1 à 2 mm de plus par sécurité. Détermination du diamètre par mesure directe sur la monture Le principe consiste à tracer au feutre, la position de montage sur le verre de présentation de la monture (à partir des cotes montage). On peut alors directement mesurer au réglet, la distance d entre le point de montage et le bord le plus éloigné de la monture  (généralement coté temporal) Le diamètre minimal nécessaire est alors égal à d * 2. Attention, dans le cas d’un verre progressif, il faut tracer la position du PRP (2 à 4mm sous la croix de centrage) et non pas position de la croix de centrage. Là encore, pour un verre décentré, il s’agit du diamètre apparent et il faut ajouter 1 à 2 mm de sécurité. Lopticomaroc-5 septembre 2019-RAOUAK

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