
Tout le vocabulaire de l’opticien & Lexique
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Lopticomaroc : Parlez nous de ESOA et EPRO Nos deux Ecoles Supérieures et Professionnelles ESOA et EPRO ont été fondées par un groupe d’enseignants chercheurs dans différents domaines à savoir : Ophtalmologie, Physico-chimie des matériaux et management et respectivement en 1997 et en 2014. Elles ont comme objectifs de: – Donner à l’étudiant tous les moyens d’acquérir les connaissances et compétences requises pour exercer les différents aspects de la profession d’opticien. – Former tant sur le plan de la théorie que de la pratique, des professionnels qui seront capables d’entreprendre, de gérer, de s’adapter à l’évolution de la profession et d’accéder aux plus hautes responsabilités. -Formation de futurs opticiens capables de contribuer à aider les gens à mieux voir Depuis l’an 2000, nous avons formés plus de 700 opticiens qui se sont installés comme opticien lunetier à travers les différentes villes du Maroc. Nos lauréats de la filière optique appliquée de ont aussi crée des sociétés de vente des équipements d’optique et de verres ophtalmiques. De même certains d entre eux Participent au marketing des sociétés d’optique Lopticomaroc : Parlez nous de l’enseignement durant la crise sanitaire Durant la crise covid, nous avons organisés : – des cours à distance durant les mois allant de mars à juin 2020 – une série de formations online au profit de nos lauréats, nos étudiants, les opticiens et les fournisseurs d’optique animés par les enseignants, les professionnels et les industriels dans les domaines d’optométrie, de contactologie et de lunetterie ainsi que le management et gestion. Lopticomaroc: Quelle est votre avis sur le projet de loi 45-13 C’est un pas positif vers l’avant et vers l’organisation du secteur avec la contribution des différents acteurs et notamment de l’association des professionnels de rééducation, de réadaptation et de réhabilitation fonctionnelle une fois créée. Lopticomaroc: Comment vous voyez l’avenir du marché de la santé visuelle au Maroc Un marché en plein essor et en plein développement Lopticomaroc: L’ Enseignement de l’optométrie est il prévu au Maroc? Espérons le un jour. Lopticomaroc remercie Mr SEKKOU KERTIT d’avoir accepté de faire cet entretien. Docteur en chimie , enseignant et actif dans de nombreux organismes visant la recherche scientifique et développement personnel . J’apprécie à juste titre ses nombreuses citations et parmi ses citations :
Quel est le meilleur fabricant de verres ? Quelle est la meilleure marque de voitures ? La question est un peu du même ordre… vous avez sans doute un avis mais il dépend de vos propres critères (prix, innovation, confort, puissance, etc.). Il existe une multitude de gammes, de modèles et de générations au sein de chacun des fabricants et la meilleure marque de verres sera sans doute celle qui a le modèle correspondant parfaitement à vos besoins. Le travail de l’opticien est donc de repérer les attentes et les besoins de son client pour lui offrir un choix conforme à tous ces critères. Il devra également bien centrer les verres et faire les réglages adéquats sans quoi le meilleur verre du monde pourra vous sembler… le pire ! Dans tous les cas, la rapidité d’adaptation à vos nouvelles lunettes représentera un gage de qualité. Les verres progressifs: un choix très subjectif ! La plupart des gens désirant s’équiper de nouvelles lunettes passe plus de temps à choisir leur monture que leurs verres. Généralement, une fois la monture sélectionnée, l’opticien vous fera un devis comprenant les verres qu’il aura choisis pour vous… Pour que ce choix soit optimal, il faut que l’opticien connaisse vos besoins et notamment vos activités, vos postures principales, vos conditions d’utilisation. Il existe des verres progressifs qui privilégient la vision de loin (VL) et d’autres qui avantagent la vision intermédiaire (VI) ou la vision de près (VP). Le verre idéal ne sera pas le même suivant que vous passez plus de temps en extérieur, sur la route, ou dans un bureau, par exemple. Mais attention, chaque porteur est unique et même son activité ne représentera jamais une garantie totale de l’efficacité et du confort escomptés. Certains porteurs seront très à l’aise avec un verre basique alors que d’autres ne se sentiront bien qu’avec un verre personnalisé. Au delà de “l’explication de base” sur les verres progressifs et les justifications de prix : “un verre bas de gamme à petit prix est un verre à faible champ, un verre haut de gamme plus cher est à large champ“, et particulièrement si vous avez une forte correction, l’opticien professionnel devra donc vous poser des questions sur votre mode de vie et d’utilisation. Si ça n’est pas le cas, fuyez et allez voir le concurrent. Attention également à ne pas laisser l’opticien choisir vos verres en fonction des garanties proposées par votre mutuelle ! C’est un système pernicieux qui ne peut perdurer car il conduit à faire augmenter les prix tout en allant vers une diminution des remboursements. Libre à vous d’y participer ou non mais au final, le consommateur sera le perdant et vous risquez de plus de ne pas vous adapter facilement à vos lunettes. Critères de choix Le choix d’un verre progressif dépend : • De votre mode de vie et de vos habitudes de travail : par exemple votre capacité physique à baisser les yeux ou la tête, la fréquence et l’intensité de vos regards sur le côté, la fréquence de vos regards en vision de près par rapport à la vision de loin.De la même façon, si vous avez une activé importante devant un écran, il vaut parfois mieux choisir un double équipement (une paire de lunettes pour la vision de loin, une paire de lunettes pour la vision de près) qui vous sera plus confortable et qui vous coûtera de plus beaucoup moins cher.• De votre morphologie : une personne très grande va lire à distance plus élevée qu’une personne plus petite.• Des contraintes de la monture : le matériau mais aussi et surtout la hauteur disponible pour les verres qui doit être suffisamment grande.A noter pour conclure ce paragraphe que comme pour tous les biens de consommation, certaines personnes voudront toujours posséder la dernière génération ou le modèle haut de gamme car cela constitue pour eux un critère rassurant. Tout comme l’achat d’une voiture avec ses différentes options, on achète parfois un peu plus que ce dont on a réellement besoin, … et pourquoi pas ! Comparer les prix Vous êtes en possession de plusieurs devis, le premier travail de sélection a été fait, oui, mais voilà, comment choisir le meilleur prix ? Les nomenclatures étant toutes différentes, pour comparer le prix de deux verres à qualité égale, vous n’avez d’autres choix que de comparer les caractéristiques techniques de chaque produit :• Sa matière (exemples : organique, minéral, polycarbonate,..)• Son indice (exemples : 1.5 , 1.6, 1.67 ,.. )• Ses options et traitements ( exemples : durci, antireflets, antirayures, antisallissures, photochromique,..) • Sa marque• Sa constringence (dispersion faible moyenne ou forte) Vous pouvez demander ces informations techniques à votre opticien ou les trouver sur les sites Internet des verriers. Une fois cette comparaison établie, il n’est pas rare qu’un même verre soit proposé à des tarifs différents. Les prix sont libres, les marges et les tarifs d’achats peuvent être très différents d’un opticien à l’autre. Il ne vous reste plus qu’à faire jouer la concurrence. Il faut savoir que ce qui définit principalement le prix d’un verre est la technlogie utilisée – autrement dit un verre dernière génération sera évidemment bien plus cher qu’une ancienne génération. Toute la question est de savoir si ce verre correspond réellement à vos besoins.
Pour connaitre le fournisseur de ces lentilles de contact, cliquez sur l’image Les caractéristiques médico professionnelles . Sa santé et le travail .
Cliquez ci dessus pour télécharger le formulaire optique Nous remercions ce brillant étudiant , Mr Abdellatif EL ABALLAOUI, lauréat de l’école IPIAB qui a pris l’initiative de créer ce formulaire avec l’aide de son professeur RAOUAK Abdellatif.
La survie de votre commerce dépend essentiellement de deux facteurs : la clientèle et les fournisseurs Partant de ce constat, le choix de vos fournisseurs constitue une pierre angulaire dans le quotidien de votre entreprise. Au moment de choisir votre fournisseur, établissez une liste de critères basiques incluant : La qualité de la gamme de produitsLes modalités de paiementLes délais de livraisonLes exigences de règlement RAOUAK
D’après les scientifiques, l’être humain cligne des yeux approximativement 30 000 fois par jour soit 15 à 20 fois par minute, sachant que cette fréquence peut s’accentuer ou diminuer selon les circonstances (travailler devant l’écran) ou l’état psychologique de la personne (calme, anxiété. Psychopathie, etc.). Ce clignement (nictation) procure un confort visuel important dans la mesure où la fermeture (muscle orbiculaire) et la réouverture (muscle releveur) rapide de la paupière permet la répartition de l’humidité (les larmes) sur la surface de l’œil. Tel un balais, le cil fait en sorte de protéger l’œil de la poussière et du vent en plus de l’hydrater. Dans le même processus, les paupières luttent contre le dessèchement de l’organe visuel en diffusant les larmes (eau et lipides) vers la surface de la cornée. De surcroît, une étude conduite par des chercheurs de l’université d’Osaka et publiée dans la revue « PNAS » a révélé que le clignement des yeux permettrait au cerveau de se reposer pendant au moins une fraction de seconde afin d’être plus attentif par la suite. Il s’agit généralement d’un geste involontaire, néanmoins contrôlable (clin d’œil, sommeil), sauf lorsqu’il s’agit de blépharospasme, dystonie focale d’origine cérébrale caractérisée par un clignement excessif, répétitif et incontrôlé des paupières. Source : https://www.focusoptique.tn RAOUAK
Il est connu que les bébés ne clignent pas aussi fréquemment des yeux que les enfants, les adolescents ou encore les adultes, ce qui donne parfois l’impression qu’ils ont une tête plutôt figée. Selon une théorie souvent entendue, outre le fait que leur organe visuel ne soit pas encore mature, les bébés veulent tellement découvrir tout et n’importe quoi, qu’ils ne préfèrent pas fermer leurs yeux lorsqu’ils sont éveillés. Selon l’ophtalmologue pédiatrique Dominique Brémond-Gignac, ce phénomène peut s’expliquer par plusieurs facteurs. En effet, les nouveau-nés disposent d’une couche de lipides plus épaisse qui fait en sorte de réduire la vitesse d’évaporation du film lacrymal, ce qui suscite un besoin moindre de cligner des yeux. De plus, étant donné que le système nerveux des bébés est partiellement mature, sa réaction aux signaux d’assèchement de l’œil (communiqués par le nerf ophtalmique) n’est pas parfaite. Par ailleurs, l’ouverture de la paupière des bébés est plutôt juste, chose qui explique que seulement une toute petite surface oculaire soit exposée à l’air extérieur. Source :Focusoptique.tn RAOUAK
Trop méconnus des porteurs de lunettes, les traitements des verres sont les garants de leur confort mais aussi de leur santé visuelle. Ils constituent de fantastiques condensés de technologies qui s’inscrivent dans l’histoire de l’optique. Les traitements combinés sont apparus dans les années 1990 par dépôt de couches ultraminces grâce à des bombardements ioniques. Ils permettent de conférer des propriétés de transparence, d’oléophobie et d’hydrophobie (laisse glisser le moindre liquide et les graisses) mais aussi de la résistance aux rayures et plus récemment de la protection aux rayons UV et à la lumière bleue. « Aujourd’hui, il faut imaginer le traitement des verres comme une succession de couches ou de technologies d’absorption de rayons. Le défi est de trouver le meilleur rapport entre la résistance du verre, sa finesse et sa capacité de protection aux rayons UV et à la lumière bleue » expose Ludovic Montagne, opticien LISSAC à Louvres (95). « Environ 70 % de mes nouveaux clients ne connaissent pas l’utilité des traitements. Ils vont directement sur un choix de monture alors qu’identifier ses besoins au niveau des verres est essentiel » considère l’opticien. Environnement professionnel, temps passé devant les écrans, loisirs, habitudes de conduite ou de lecture sont autant de paramètres à prendre en compte pour choisir des traitements adaptés. Des traitements de surface à toutes épreuves « Le traitement primordial est le vernis de surface qui apporte la résistance aux rayures » indique Ludovic Montagne, qui rappelle que « les verres optiques organiques, ceux qu’on utilise aujourd’hui, sont plus légers que les verres minéraux du passé, mais aussi plus fragiles ». Georges Lissac, fondateur de LISSAC, est à l’origine de la création des premiers verres organiques, ORMA en 1958 (en savoir plus sur l’histoire de LISSAC). Le vernis durcisseur de surface est le seul traitement en contact direct avec le verre. Par-dessus le vernis, se trouvent généralement une ou plusieurs couches d’antireflet qui permettent d’éviter les phénomènes d’éblouissement ou de réverbération. Le confort et la qualité de la vision sont considérablement améliorés. Et comme les verres sont traités sur leur deux faces, ce qui limite les reflets parasites des deux côtés du verre, les yeux du porteur de lunettes sont aussi plus visibles de ses interlocuteurs. D’autres traitements de surface sont possibles comme l’antisalissure grâce auquel il y a moins de traces de doigts et de poussière, et qui permet aux gouttes d’eau de perler à la surface du verre pour mieux s’évacuer. De la même manière qu’il existe des verres dont le matériau lui-même absorbe les UV, les verres à teinte variable ont la propriété de foncer au contact de la lumière. Clairs lorsqu’ils ne sont pas actifs, ils réagissent aux rayons ultraviolets. En cas de fort ensoleillement, il peut foncer autant qu’un verre solaire. Autrement dit, ils sont à la fois verres de vue à l’intérieur et verres solaires correcteurs à l’extérieur. L’anti-lumière bleue : un traitement en passe de devenir incontournable Aujourd’hui, il existe aussi des anti-reflets avec un filtre anti-lumière bleue, devenu une nécessité avec la multiplication des écrans et des LED. Protéger l’œil de la lumière bleue est en effet un réel enjeu de santé publique aujourd’hui : elle perturbe les rythmes biologiques (dont le sommeil), et peut conduire à long-terme à une baisse définitive de l’acuité visuelle partielle ou totale. Une exposition chronique augmente le risque d’apparition de la DMLA ; les données scientifiques montrent des effets phototoxiques (fait que les cellules de la rétine soit endommagées par la lumière) au long-court (étude ANSES 2019). « Il faut savoir que le système visuel est celui qui vieillit le plus vite. Avec le vieillissement de la population, il est impératif pour nous de trouver des solutions pour protéger le capital visuel, pour qu’il soit fonctionnel le plus longtemps possible » confirme Emilie Derigny, responsable de la communication chez Essilor. Les différents fabricants de verres optiques développent des technologies pour obtenir des verres avec des propriétés « anti-lumière bleue » intrinsèques. Un choix de traitements sur-mesure : la mission de l’opticien Pas facile de faire un choix parmi cet éventail de traitements des verres ; le travail de l’opticien est justement d’accompagner les clients en leur apportant une expertise sur les besoins exprimés et les possibilités à leur disposition. « En fin de compte j’ai toujours une double proposition, en plus de celle du 100 % santé : une proposition que je considère être la plus proche de leurs besoins et une intermédiaire qui se rapproche plus du budget prévu de mes clients », détaille Ludovic Montagne. Pour optimiser la recherche des besoins, il a intégré à son magasin un studio « NIKON » qui met à disposition un système d’outils interactifs pour expliquer de façon didacticiel l’intérêt des différents traitements et type de verres. Peut-on éviter la buée avec le masque ?Le masque et le port de lunettes font a priori mauvais ménage. En quelques minutes, la buée oblige souvent à ôter ses lunettes. « Même s’il n’existe pas de verres anti-buée à proprement parler, nous recommandons fortement le traitement hydrophobe qui laisse couler l’eau. La buée n’étant qu’une vaporisation de micro gouttelettes, elle aura plus de mal à adhérer sur une surface ainsi traitée. » explique Ludovic Montagne. Si les verres anti-buée ont pour le moment été abandonnés parce que les premiers essais n’ont pas été concluants, il est possible de lutter contre la condensation de vapeur d’eau grâce aux produits d’entretien. Un spray anti-buée, que l’on applique une fois par jour sur les deux faces du verre, après le produit nettoyant, et qu’on essuie légèrement, peut s’avérer bien efficace. À la condition toutefois que le verre soit parfaitement propre. Pour ce faire, Ludovic Montagne conseille « de se rendre chez son opticien qui nettoiera votre équipement grâce à un bac à ultrasons permettant d’ôter toute la matière organique ». Source : https://www.observatoire-groupeoptic2000.fr RAOUAK
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