
Fiche opticien médico professionnelle
Pour connaitre le fournisseur de ces lentilles de contact, cliquez sur l’image Les caractéristiques médico professionnelles . Sa santé et le travail .
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Cliquez ci dessus pour télécharger le formulaire optique Nous remercions ce brillant étudiant , Mr Abdellatif EL ABALLAOUI, lauréat de l’école IPIAB qui a pris l’initiative de créer ce formulaire avec l’aide de son professeur RAOUAK Abdellatif.
La survie de votre commerce dépend essentiellement de deux facteurs : la clientèle et les fournisseurs Partant de ce constat, le choix de vos fournisseurs constitue une pierre angulaire dans le quotidien de votre entreprise. Au moment de choisir votre fournisseur, établissez une liste de critères basiques incluant : La qualité de la gamme de produitsLes modalités de paiementLes délais de livraisonLes exigences de règlement RAOUAK
D’après les scientifiques, l’être humain cligne des yeux approximativement 30 000 fois par jour soit 15 à 20 fois par minute, sachant que cette fréquence peut s’accentuer ou diminuer selon les circonstances (travailler devant l’écran) ou l’état psychologique de la personne (calme, anxiété. Psychopathie, etc.). Ce clignement (nictation) procure un confort visuel important dans la mesure où la fermeture (muscle orbiculaire) et la réouverture (muscle releveur) rapide de la paupière permet la répartition de l’humidité (les larmes) sur la surface de l’œil. Tel un balais, le cil fait en sorte de protéger l’œil de la poussière et du vent en plus de l’hydrater. Dans le même processus, les paupières luttent contre le dessèchement de l’organe visuel en diffusant les larmes (eau et lipides) vers la surface de la cornée. De surcroît, une étude conduite par des chercheurs de l’université d’Osaka et publiée dans la revue « PNAS » a révélé que le clignement des yeux permettrait au cerveau de se reposer pendant au moins une fraction de seconde afin d’être plus attentif par la suite. Il s’agit généralement d’un geste involontaire, néanmoins contrôlable (clin d’œil, sommeil), sauf lorsqu’il s’agit de blépharospasme, dystonie focale d’origine cérébrale caractérisée par un clignement excessif, répétitif et incontrôlé des paupières. Source : https://www.focusoptique.tn RAOUAK
Il est connu que les bébés ne clignent pas aussi fréquemment des yeux que les enfants, les adolescents ou encore les adultes, ce qui donne parfois l’impression qu’ils ont une tête plutôt figée. Selon une théorie souvent entendue, outre le fait que leur organe visuel ne soit pas encore mature, les bébés veulent tellement découvrir tout et n’importe quoi, qu’ils ne préfèrent pas fermer leurs yeux lorsqu’ils sont éveillés. Selon l’ophtalmologue pédiatrique Dominique Brémond-Gignac, ce phénomène peut s’expliquer par plusieurs facteurs. En effet, les nouveau-nés disposent d’une couche de lipides plus épaisse qui fait en sorte de réduire la vitesse d’évaporation du film lacrymal, ce qui suscite un besoin moindre de cligner des yeux. De plus, étant donné que le système nerveux des bébés est partiellement mature, sa réaction aux signaux d’assèchement de l’œil (communiqués par le nerf ophtalmique) n’est pas parfaite. Par ailleurs, l’ouverture de la paupière des bébés est plutôt juste, chose qui explique que seulement une toute petite surface oculaire soit exposée à l’air extérieur. Source :Focusoptique.tn RAOUAK
Trop méconnus des porteurs de lunettes, les traitements des verres sont les garants de leur confort mais aussi de leur santé visuelle. Ils constituent de fantastiques condensés de technologies qui s’inscrivent dans l’histoire de l’optique. Les traitements combinés sont apparus dans les années 1990 par dépôt de couches ultraminces grâce à des bombardements ioniques. Ils permettent de conférer des propriétés de transparence, d’oléophobie et d’hydrophobie (laisse glisser le moindre liquide et les graisses) mais aussi de la résistance aux rayures et plus récemment de la protection aux rayons UV et à la lumière bleue. « Aujourd’hui, il faut imaginer le traitement des verres comme une succession de couches ou de technologies d’absorption de rayons. Le défi est de trouver le meilleur rapport entre la résistance du verre, sa finesse et sa capacité de protection aux rayons UV et à la lumière bleue » expose Ludovic Montagne, opticien LISSAC à Louvres (95). « Environ 70 % de mes nouveaux clients ne connaissent pas l’utilité des traitements. Ils vont directement sur un choix de monture alors qu’identifier ses besoins au niveau des verres est essentiel » considère l’opticien. Environnement professionnel, temps passé devant les écrans, loisirs, habitudes de conduite ou de lecture sont autant de paramètres à prendre en compte pour choisir des traitements adaptés. Des traitements de surface à toutes épreuves « Le traitement primordial est le vernis de surface qui apporte la résistance aux rayures » indique Ludovic Montagne, qui rappelle que « les verres optiques organiques, ceux qu’on utilise aujourd’hui, sont plus légers que les verres minéraux du passé, mais aussi plus fragiles ». Georges Lissac, fondateur de LISSAC, est à l’origine de la création des premiers verres organiques, ORMA en 1958 (en savoir plus sur l’histoire de LISSAC). Le vernis durcisseur de surface est le seul traitement en contact direct avec le verre. Par-dessus le vernis, se trouvent généralement une ou plusieurs couches d’antireflet qui permettent d’éviter les phénomènes d’éblouissement ou de réverbération. Le confort et la qualité de la vision sont considérablement améliorés. Et comme les verres sont traités sur leur deux faces, ce qui limite les reflets parasites des deux côtés du verre, les yeux du porteur de lunettes sont aussi plus visibles de ses interlocuteurs. D’autres traitements de surface sont possibles comme l’antisalissure grâce auquel il y a moins de traces de doigts et de poussière, et qui permet aux gouttes d’eau de perler à la surface du verre pour mieux s’évacuer. De la même manière qu’il existe des verres dont le matériau lui-même absorbe les UV, les verres à teinte variable ont la propriété de foncer au contact de la lumière. Clairs lorsqu’ils ne sont pas actifs, ils réagissent aux rayons ultraviolets. En cas de fort ensoleillement, il peut foncer autant qu’un verre solaire. Autrement dit, ils sont à la fois verres de vue à l’intérieur et verres solaires correcteurs à l’extérieur. L’anti-lumière bleue : un traitement en passe de devenir incontournable Aujourd’hui, il existe aussi des anti-reflets avec un filtre anti-lumière bleue, devenu une nécessité avec la multiplication des écrans et des LED. Protéger l’œil de la lumière bleue est en effet un réel enjeu de santé publique aujourd’hui : elle perturbe les rythmes biologiques (dont le sommeil), et peut conduire à long-terme à une baisse définitive de l’acuité visuelle partielle ou totale. Une exposition chronique augmente le risque d’apparition de la DMLA ; les données scientifiques montrent des effets phototoxiques (fait que les cellules de la rétine soit endommagées par la lumière) au long-court (étude ANSES 2019). « Il faut savoir que le système visuel est celui qui vieillit le plus vite. Avec le vieillissement de la population, il est impératif pour nous de trouver des solutions pour protéger le capital visuel, pour qu’il soit fonctionnel le plus longtemps possible » confirme Emilie Derigny, responsable de la communication chez Essilor. Les différents fabricants de verres optiques développent des technologies pour obtenir des verres avec des propriétés « anti-lumière bleue » intrinsèques. Un choix de traitements sur-mesure : la mission de l’opticien Pas facile de faire un choix parmi cet éventail de traitements des verres ; le travail de l’opticien est justement d’accompagner les clients en leur apportant une expertise sur les besoins exprimés et les possibilités à leur disposition. « En fin de compte j’ai toujours une double proposition, en plus de celle du 100 % santé : une proposition que je considère être la plus proche de leurs besoins et une intermédiaire qui se rapproche plus du budget prévu de mes clients », détaille Ludovic Montagne. Pour optimiser la recherche des besoins, il a intégré à son magasin un studio « NIKON » qui met à disposition un système d’outils interactifs pour expliquer de façon didacticiel l’intérêt des différents traitements et type de verres. Peut-on éviter la buée avec le masque ?Le masque et le port de lunettes font a priori mauvais ménage. En quelques minutes, la buée oblige souvent à ôter ses lunettes. « Même s’il n’existe pas de verres anti-buée à proprement parler, nous recommandons fortement le traitement hydrophobe qui laisse couler l’eau. La buée n’étant qu’une vaporisation de micro gouttelettes, elle aura plus de mal à adhérer sur une surface ainsi traitée. » explique Ludovic Montagne. Si les verres anti-buée ont pour le moment été abandonnés parce que les premiers essais n’ont pas été concluants, il est possible de lutter contre la condensation de vapeur d’eau grâce aux produits d’entretien. Un spray anti-buée, que l’on applique une fois par jour sur les deux faces du verre, après le produit nettoyant, et qu’on essuie légèrement, peut s’avérer bien efficace. À la condition toutefois que le verre soit parfaitement propre. Pour ce faire, Ludovic Montagne conseille « de se rendre chez son opticien qui nettoiera votre équipement grâce à un bac à ultrasons permettant d’ôter toute la matière organique ». Source : https://www.observatoire-groupeoptic2000.fr RAOUAK
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Depuis la sortie du confinement, nous devons retrouver nos habitudes et nos commerçants. Peut-être est-il temps de changer de monture voire de correction visuelle suite à un télétravail intensif ? Comment les Opticiens par Conviction ont-ils adapté les gestes barrière ? Comment garantissent–ils notre sécurité sanitaire ? Peuvent-ils autant nous chouchouter ? Comment mon Opticien par Conviction lutte contre la pandémie Covid-19 pour accueillir ses clients ? Le protocole d’accueil sanitaire des opticiens pour vous accueillir post-confinement La ré-ouverture des magasins d’optique a été préparée bien avant le déconfinement de mai afin d’organiser au mieux les espaces de vente : distances de sécurité, nettoyage et désinfection entre chaque client, ajustements des surfaces commerciales… C’est tout un Protocole d’accueil Post Covid-19 qui a été conçu et appliqué pour vous recevoir en toute sérénité. Laver et désinfecter pour éviter la propagation du coronavirus Afin de limiter les risques de contagion, le mobilier à disposition des clients est régulièrement nettoyé. Chaque monture, pince d’ajustage, accoudoirs, stylos, table, poignées de porte, terminal de carte bleue ainsi que les appareils de mesure sont automatiquement désinfectés entre chaque client. Les surfaces qui ne peuvent pas bénéficier d’une désinfection comme les magazines et journaux mais aussi les boissons offertes ne sont plus présents en boutique. Organiser les lieux de vente post-covid Quelques ajustements à votre boutique d’optique ont été faits ; et peut-être les avez-vous déjà remarqués ? Ils sont là pour garantir votre santé. Des structures en plexiglass pour protéger le personnel et les clients. Un sens de circulation pour éviter des croisements : avec une entrée et une sortie à l’aide d’un fléchage. Un marquage au sol pour respecter la distanciation sociale. Un ré-agencement des présentoirs pour faciliter l’accès aux produits tout en conservant les bonnes distances entre clients. Et même si les beaux jours arrivent, la bonne pratique en termes de circulation d’air pour limiter l’usage des climatisations et préférer une aération régulière des magasins. Les mesures préventives et gestes barrière des opticiens Les Opticiens par Conviction sont formés aux gestes de sécurité et aux consignes d’hygiène, fortement renforcés depuis l’épidémie du coronavirus. Le geste barrière indispensable : le lavage des mains Pour votre Opticien par Conviction : un lavage des mains toutes les 2h au minimum, entre chaque client, après chaque changement de tâche et après toute manipulation de colis ou objets touchés par d’autre, avant et après manger et boire, et encore plus en cas de contact avec une personne. Pour les clients : le nettoyage des mains est aussi obligatoire dès l’arrivée en magasin. Un dispositif de distribution de solution hydroalcoolique est mis à disposition à cet effet à l’entrée de la boutique. Avant de manipuler des montures, de toucher les comptoirs ou table d’examen, et aussi avant de récupérer des commandes ou de payer, avec une friction de 30 secondes avec ces gels désinfectants. Le port du masque FFP1 et de lunettes de protection durant le déconfinement Le port du masque et de lunettes pour le personnel qui vous accueille en magasin d’optique est obligatoire. Les masques autorisés sont de type non sanitaire, FFP1. Des masques sont également mis à la disposition de tous les clients. Les pratiques professionnelles adaptées au déconfinement Les Opticiens par Conviction sont des professionnels qui réalisent des prises de mesures optiques sans contact, utilisent des poubelles à pédale munies de sacs avec des liens refermants pour tous les déchets. Ils portent une tenue de change pour limiter les transmissions de germes entre leur lieu d’exercice et leur lieu de vie. De nouvelles habitudes de consommateurs post-covid Le confinement et la peur d’être infectés par le Covid-19 ont profondément modifié les comportements de chacun. Voici quelques points importants à retenir pour le déconfinement. Les communications numériques après le confinement Passer commande, obtenir des renseignements, prendre rendez-vous pour récupérer des articles, pour ajuster ou réparer des lunettes… Voici des habitudes qui ont été prises durant le confinement. Par les réseaux sociaux, par mail, par téléphone, les consommateurs ont su garder le contact avec leur commerçant par différents médias, alors qu’ils étaient confinés et cette pratique est encore plébiscitée après le déconfinement. L’affluence et la distanciation sociale chez l’opticien Afin de respecter la distance de 1m entre chaque personne, les magasins ont limité leur flux de clients, limiter le nombre de personnes au même moment au même endroit. Cette « absence de foule » est fortement appréciée par un grand nombre de clients qui gardent le réflexe de consulter les heures d’affluence avant de rendre en magasin. Les paiements par carte bancaire après le confinement Les règlements effectués à l’aide de carte bancaire sont logiquement ceux qui limitent le plus les contacts entre commerçants et clients. Les plus petites sommes peuvent bénéficier de règlements « sans contact » sans manipulation du terminal de paiement. Source : https://www.opticiensparconviction.fr RAOUAK
La start-up chinoise, Rokid, a créé des lunettes connectées qui ambitionnent à lutter contre la propagation du Covid-19. En effet, basée sur la réalité thermique augmentée sans contact, ces lunettes permettent de mesurer la température d’une personne à un mètre de distance afin de déterminer si elle peut être contaminée par le coronavirus. Actuellement, ces lunettes qui seraient en mesures de contrôler une centaine de personnes en deux minutes environ, sont uniquement utilisées par la police de Xixi Hongyuan, située en banlieue de Hangzhou près de Shanghai. D’autres villes voisines comme Huzhou ou Quzhou sont également en train de tester les lunettes. Si une personne affiche une température plus élevée que la normale, une alerte est envoyée de façon automatique. Cela dit, les Rokid Glass ne repèrent pas les personnes infectées ne présentant pas de fièvre. De plus, elles ne font pas nécessairement la différence entre la température du corps et celle détectée au niveau de la peau. Donc pour le moment, elles ne sont pas encore tout à fait fiables. Source: https://www.focusoptique.tn/hightech RAOUAK
La start-up niçoise Ellcie Healthy a mis au point des lunettes intelligentes qui veulent assurer le bien-être et la sécurité de leurs porteurs, en luttant notamment contre la somnolence au volant, l’une des principales causes d’accidents sur les autoroutes. En effet, la somnolence a les mêmes effets que 0.5 grammes d’alcool par litre de sang. Ces lunettes sont dotées de micro-capteurs qui calculent le pouls, les clignements de paupières, les mouvements de tête, les bâillements et la température. Ces données sont ensuite relayées au Smartphone qui en interprétera la signification. En effet, s’il détecte que le conducteur a atteint un seuil dangereux de fatigue qui le pousse à s’endormir au volant, les lunettes produiront un son avant de lancer un signal lumineux ou commencer à vibrer. Outre la possibilité de lutter contre l’endormissement, ces lunettes géolocalisables permettent de prévenir les chutes des personnes âgées vu qu’elles embarquent un altimètre et un accéléromètre qui servent à analyser les données physiques, physiologiques et environnementales des porteurs. De plus, elles renseignent leurs utilisateurs sportifs sur le nombre de pas effectués, le nombre de calories brûlées, etc. Mais aussi avancée qu’elle soit, la technologie ne peut remplacer le repos. Source : www.focusoptique.tn RAOUAK
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