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Marketing : faire la différence entre B2B et B2C

Que ce soit en B2B ou en B2C, le marketing conserve ses principes de base que sont, par exemple, l’analyse de marché ou encore la planification stratégique. En revanche, les techniques à mettre en place ne seront pas exactement les mêmes, car elles doivent prendre en compte les particularités de ces deux types d’échanges commerciaux. Deux types de cibles à bien différencier Par définition, le marketing B2B concerne les échanges commerciaux réalisés avec une autre entreprise, et le marketing B2C les échanges commerciaux avec une clientèle de particuliers. La cible de ces deux types de marketing est donc très différente : limitée en nombre, mais spécialisée en Business to Business, beaucoup plus large, mais moins experte en Business to Consumer. En effet, les entreprises visées en B2B, déjà a priori mieux informées que le particulier, font en plus un travail de recherches important auprès d’experts pour l’analyse de leurs besoins et la recherche de solutions adéquates. Il faut donc mettre en œuvre, en B2B, une stratégie marketing qui fournit des informations beaucoup plus spécifiques et pointues qu’en B2C, car les clients sont, en général, moins au fait des produits et solutions proposées. Dans ce dernier cas, l’utilisation d’un langage plus simple fonctionne mieux auprès des particuliers. Une stratégie différente à long terme Ce besoin d’informations se manifeste désormais chez les entreprises clientes pratiquement à chaque instant de leurs relations avec l’entreprise vendeuse, et non plus seulement en amont de la vente. Selon plusieurs études publiées ces dernières années, les sociétés acquéreuses continuent de s’informer sur les produits qu’elles utilisent et sur leur évolution, même après les avoir achetés, afin de pouvoir atteindre une réelle expertise en termes de besoin et de pouvoir changer de solutions si cela s’avère indispensable. Le marketing B2B nécessite donc de laisser un rôle de plus en plus actif à ses clients afin de pouvoir mieux prendre en compte leurs intérêts et ainsi satisfaire leurs besoins au sein d’un partenariat qui peut s’apparenter à de la co-innovation.Même si le particulier est aujourd’hui beaucoup mieux informé qu’avant et directement en relation avec l’entreprise vendeuse via les réseaux sociaux, il n’a pas encore, pour l’instant, cette volonté de prendre le contrôle sur les cycles de vente. Une valeur indirecte à prendre en compte en B2B Alors qu’en B2C, la valeur générée par une stratégie marketing n’est que directe et se mesure par l’efficacité du produit ou de la solution offerte au client, cette valeur générée revêt également une dimension indirecte en B2B. En effet, lorsque la cible est une entreprise, le marketing comporte également une influence indirecte qui s’applique aux clients des sociétés clientes. Le marketing Business to Business doit donc, en plus, prendre en compte les marchés avals, à savoir les clients du client, en mettant en place des outils pensés pour apporter quelque chose à ces derniers. Un marketing B2B plus complexe et plus rationnel Les stratégies mises en place en B2B doivent être capables de convaincre des personnes aux attentes et aux caractéristiques différentes : acheteur, clients de l’acheteur, ainsi que les différents experts à qui l’entreprise cliente demande conseil. En ce sens, le marketing Business to Business apparaît comme beaucoup plus complexe que le marketing Business to Consumer. Le cycle d’achat est aussi plus long en B2B qu’en B2C, où seul le client doit être convaincu, même s’il peut lui arriver d’être influencé dans ses choix par son entourage. Le client en Business to Consumer est également considéré comme moins rationnel dans ses choix que le client en Business to Business. En effet, ce dernier doit le plus souvent justifier son acquisition auprès de sa hiérarchie, ou des autres pôles de la société. De plus, les contrats pour un achat B2B sont, la plupart du temps, beaucoup plus longs qu’en B2C en raison d’un processus de réflexion plus important et la participation d’un plus grand nombre d’influenceurs. Source : https://solutions.lesechos.fr/com-marketing

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Les 4 P en Marketing

Produit QualitéCaractéristiques et optionsMarqueStyleTaillesConditionnementService après-venteGarantie Prix TarifRemiseRabaisConditions de paiementConditions de crédit Distribution(place) Canaux de distributionPoints de venteZones de chalandiseStocks et entrepôtsAssortimentMoyens de transport Communication(promotion) PublicitéPromotion des ventesForce de venteMarketing directRelations publiques

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L’opticien et les médias sociaux

Voici une sélection des 25 réseaux sociaux les plus populaires en France et dans le monde en 2020 : 1- Facebook, le réseau social aux 2,2 milliards d’utilisateurs actifs 2 – YouTube, le média social dédié aux vidéos 3 – Twitter : la plateforme de microblogging 4 – Linkedin, le plus professionnel des réseaux sociaux 5 – Instagram, le réseau social qui monte en flèche 6 – Pinterest, le réseau source d’inspiration 7 – TikTok, les courtes vidéos en musique 8 – Snapchat, l’éphémère à tout prix 9 – Soundcloud, la musique avant tout 10 – Periscope, le direct sinon rien 11 – Flickr, le réseau social des passionnés de photo 12 – Vimeo, le réseau plus confidentiel de partage de vidéos 13 – Dailymotion, le concurrent direct de YouTube 14 – Reddit, le réseau social de l’upvote 15 – Twitch, le réseau social dédié au gaming 16 – WhatsApp, le réseau social dédié aux conversations 17 – Line, le concurrent asiatique de WhatsApp 18 – Tencent QQ, le Skype Chinois 19 – WeChat, le concurrent chinoise de WhatsApp 20 – Qzone, l’un des plus gros réseaux sociaux Chinois 21 – Sina Weibo, le Twitter Chinois 22 – Little Red Book (XiaHongShu), le réseau social Chinois très orienté e-commerce : 23 – Vkontakte, le Facebook Russe 24 – Odnoklassniki, le réseau social Russe pour retrouver ses anciens camarades 25 – Byte, le remplaçant de Vine L’opticien utilise en général que quatre : 1- Facebook, le réseau social aux 2,2 milliards d’utilisateurs actifs. 2 – YouTube, le média social dédié aux vidéos. 3 – Linkedin, le plus professionnel des réseaux sociaux. 4- Instagram, le réseau social qui monte en flèche Pourquoi utiliser les médias sociaux ? À quoi servent les médias sociaux ? Je ne compte plus le nombre de fois où l’on me pose cette question quand je commence une formation sur les médias sociaux. La question, aujourd’hui, ne devrait plus être “A quoi servent les médias sociaux ?” mais plutôt “Comment bien utiliser les médias sociaux ?” Les médias sociaux sont incontournables. Une stratégie Marketing qui n’intègrent pas les médias sociaux de nos jours n’est clairement pas optimale. Vous vous demandez encore à quoi servent les médias sociaux ? Voici 7 raisons pour lesquelles vous devez intégrer les médias sociaux à votre stratégie de communication : Les médias sociaux permettent d’augmenter votre visibilité et votre notoriété. Les médias sociaux permettent d’améliorer votre référencement . Les réseaux sociaux représentent donc l’opportunité de diffuser et faire diffuser des liens vers les pages de votre site web et d’optimiser ainsi leur positionnement dans les moteurs de recherches. Les médias sociaux permettent d’acquérir plus de trafic. Les médias sociaux permettent de trouver de nouveaux clients et partenaires. Les médias sociaux permettent de gérer la relation clients en temps réel. Les médias sociaux permettent de gérer votre e-réputation (votre réputation en ligne). Les médias sociaux permettent de réaliser une veille constante de votre marché en temps réel. Les médias sociaux sont donc incontournables à l’heure de la communication digitale. Cependant, il est important de prendre le temps de concevoir une stratégie médias sociaux complète afin de les utiliser à bon escient et d’atteindre ainsi les objectifs que vous vous êtes fixés en amont. Sans stratégie, les ressources que vous mobiliserez dans la gestion de vos médias sociaux seront gaspillées et pourront même avoir un impact négatif sur votre marque (ex : bad buzz…). Vous l’aurez compris, les médias sociaux ont une force de frappe exceptionnelle mais sont à manier avec des pincettes…

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Le kératocône

Définition du kératocône « Le kératocône est une dystrophie cornéenne idiopathique caractérisée par une ectasie et un amincissement progressif non-inflammatoire de la cornée » Anatomie de l’oeil Autrement dit, le kératocône est une maladie de la cornée qui va lentement passer d’une forme grossièrement sphérique à une forme très irrégulière et amincie d’allure conique (ectasie vers l’avant). Il s’ensuit une dégradation de la vision. Amincissement de la cornée Bombement conique de la cornée Il est précisé qu’il s’agit d’une dystrophie car elle touche les deux yeux et survient de façon très progressive avec, semble-il, un support génétique latent. C’est une maladie idiopathique, c’est-à-dire sans cause reconnue actuellement. L’hypothèse principale repose sur la possibilité d’une dégradation excessive et anormale du collagène (molécule majoritaire de la cornée constituant la trame du tissu cornéen). L’atteinte est non-inflammatoire, c’est-à-dire sans rougeur ni douleur de l’œil.Connu depuis près de trois siècles, le kératocône reste un challenge car il n’a toujours pas livré clairement le secret de sa physiopathologie. Généralement, le diagnostic est porté par l’ophtalmologiste qui constate une baisse de la vision non corrigible par les verres de lunettes, une topographie de la cornée anormale, un astigmatisme irrégulier. Parfois, c’est lors d’un bilan en vue d’une chirurgie de la myopie qu’est décelée la maladie, souvent jusqu’alors méconnue car présente à un stade encore trop fruste. Les premiers symptômes sont : Une myopie et/ou un astigmatisme anormalement évolutifs Une vision mal corrigée par les lunettes Des difficultés d’adaptation aux lentilles Des difficultés pour la conduite nocturne Une fatigue visuelle, des maux de tête Quatre stades cliniques distincts, sont classiquement distingués. Ils permettent de positionner les patients dans le cadre habituel de l’évolution de la maladie : Le stade infra-clinique ou latent : Absence de signe clinique et fonctionnel. Le stade fruste : Présence de signes cliniques fins sans retentissement fonctionnel. Le stade avéré : Tableau clinique marqué avec retentissement fonctionnel. Le stade compliqué : Evolution péjorative de la vision malgré une bonne prise en charge, impliquant souvent la réalisation d’une greffe de cornée. Les facteurs de risques associés au kératocône Certains facteurs ont été retenus comme associés à un risque plus important de développer un kératocône : Les antécédents familiaux de kératocône sont retrouvés chez environ 20 % des patients. La présence d’un terrain allergique (atopie) est retrouvée chez près de 50% des patients. Le frottement régulier des yeux a été identifié comme délétère. La présence d’une maladie générale du collagène est rarement retrouvée. Un nouveau marqueur, appelé hystérésie cornéenne, analyse la visco-élasticité cornéenne et permettrait le dépistage des kératocônes frustes. Cet outil innovant donnerait la possibilité d’évaluer simplement la nature du collagène de la cornée. Si l’hystérésie cornéenne est faible, la cornée est dite « molle » et serait ainsi plus à risque de développer un kératocône. Les moyens thérapeutiques Les lunettes C’est le premier équipement optique proposé pour les formes débutantes dont l’astigmatisme myopique n’est pas trop important, asymétrique et irrégulier. Les lentilles de contact C’est l’arme de choix pour la majorité des patients atteints de kératocône. L’adaptation est cependant délicate voire impossible dans certains cas. Il vaut mieux demander à voir un spécialiste de l’adaptation en lentilles (contactologue) et si possible en lentilles pour kératocône.Lentille de contact rigide L’avantage de la lentille de contact par rapport aux lunettes est lié à l’interface qu’elle crée avec le film lacrymal. Cette dernière permet de gommer une grande partie des irrégularités de la cornée. Les lentilles rigides sont beaucoup plus efficaces mais plus complexes à adapter. Parfois, afin de stabiliser la lentille sur le cône, il est utile de superposer une lentille rigide par dessus une lentille souple (système Piggyback). Lorsque la lentille n’est pas ou plus tolérée, il est licite de proposer une alternative chirurgicale. Pour information, le kératocône fait partie des rares cas de prise en charge partielle du coût des lentilles par la sécurité sociale (conformément au TIPS). Celle-ci est de 39,35 euros par œil et par an. Les conditions de remboursement des lentilles par les caisses complémentaires dépendent du contrat que vous avez choisi. Afin de permettre aux patients de trouver facilement un ophtalmologiste « contactologue » de proximité, la SFOALC (Société Française des Ophtalmologistes Adaptateurs de Lentilles de Contact) a proposé à ses adhérents de participer à un « réseau du kératocône ». L’idée étant de créer un maillage de spécialistes du kératocône équitablement répartis dans toutes les régions françaises. Le crosslinking du collagène cornéen Ce traitement est capital pour éviter, ou limiter le risque, d’aggravation des formes précoces avec baisse d’acuité visuelle et recours à des traitements chirurgicaux : greffe de cornée notamment. Le crosslinking du collagène cornéen a pour but de « rigidifier » une cornée biomécaniquement instable. Si le mécanisme d’action du crosslinking n’est pas complètement élucidé, le principe repose sur un « pontage » biochimique photo-induit des fibres de collagène.Réticulation des fibres de collagène qui aboutit à la formation de ponts intra et inter fibrillaires. La technique standard repose, après « grattage » des couches de la surface de la cornée, sur l’instillation de riboflavine (Vitamine B2) pendant 30 minutes, suivie d’une irradiation par des UV-A à une fluence de 3 mW/cm² pendant 30 minutes.Crosslinking du collagène cornéen. Les indications du crosslinking ne concernent que le kératocône évolutif. Il n’est pas réalisé systématiquement en l’absence de progression avérée, sauf chez l’enfant où le risque d’aggravation rapide est important. Les résultats sont concordants dans la littérature et rapportent une stabilisation de la maladie dans près de 90% des cas. Un certain nombre de patients peut cependant voir son kératocône continuer d’évoluer malgré le traitement. Bien qu’efficace, le crosslinking n’est pas dénué de complications. La plupart de ces complications sont dues à la phase initiale de la procédure chirurgicale qui consiste à gratter la surface de la cornée. Cette abrasion épithéliale cornéenne mécanique est à l’origine d’une part de phénomènes douloureux pendant 1 à 3 jours, temps de la repousse des couches de surface et, d’autre part, des phénomènes cicatriciels et infectieux. A la fin de la procédure, une lentille de contact souple thérapeutique est souvent mise en place à visée antalgique anti-douleur et laissée 48 heures. L’association du crosslinking à d’autres procédures est possible. Enfin, d’autres approches du crosslinking sont en évaluation pour limiter

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Les techniques de vente les plus utilisées.

Il n’existe pas UNE mais des techniques de vente. Nous présentons ici 5 techniques les plus utilisées par les commerciaux: 1. L’écoute active : vendre mieux pour fidéliser Si entendre est une démarche passive qui ne requiert pas de volonté particulière, écouter est un processus actif qui exige un engagement personnel. Si l’expression « écoute active » adopte la forme d’un pléonasme, c’est pour insister sur la nécessité d’accorder une attention profonde à ce qu’expriment les prospects et clients. Plus que l’utilisation du silence et des signes de tête nécessaires pour suggérer l’intérêt, il s’agit pour le commercial d’adopter une posture d’empathie réelle avec son interlocuteur : reformuler les propos du client, poser des questions ouvertes (qui n’appellent pas uniquement à des réponses « oui » ou « non »), lui demander de préciser un point. La prise de notes est un moyen efficace de se concentrer sur la parole du client, pour comprendre en profondeur ses structures de pensée.  L’usage de l’écoute active dans la négociation constitue donc pour la force de vente un atout majeur. C’est en comprenant objectivement les besoins du client qu’on est en mesure de lui apporter une réponse pertinente. L’écoute active permet à la force de vente d’améliorer son taux de transformation et la satisfaction globale de sa clientèle, essentielle à la fidélisation. S’il se sent écouté, le client se sent compris, donc valorisé. L’écoute active est vécue comme un témoignage de respect, qui favorise le développement d’une relation commerciale intime et féconde, et constitue en quelque sorte la base des 4 techniques additionnelles détaillées ci-dessous.   2. SPANCO : convertir le prospect en client Mise en place par la société américaine Xerox, la méthode SPANCO permet de suivre étape par étape la négociation commerciale, de la prise de contact jusqu’à la conclusion d’une transaction. Elle se présente comme une véritable feuille de route pour convertir un prospect en client, et permet de mettre en perspective les chiffres de ventes grâce à des KPI (Key Performance Indicators). Chaque lettre de l’acronyme SPANCO correspond à une phase du processus de captation. SuspectPhase de définition de la cible. Il s’agit de circonscrire le périmètre des contacts et des relations possibles pour déployer une offre. En d’autres termes, de définir son marché. ProspectPhase d’identification du lead (client potentiel). En croisant les critères, on regroupe les « suspects » comportant des caractéristiques communes, avant de les contacter pour leur présenter l’offre. Analyse ou ApprochePhase d’évaluation et identification de la solution. Le commercial rencontre le prospect, écoute sa problématique, analyse ses besoins et réfléchit à la façon dont l’offre peut y répondre. NégociationPhase de la proposition de vente et de négociation. L’objectif est de faire accepter l’offre au client potentiel en répondant point par point aux objectifs déterminés au cours de l’analyse précédente. ConclusionPhase de finalisation de la commande et de concrétisation de la vente. On détermine les conditions et le délai d’achat afin d’obtenir la signature de l’acte de vente et de poser les jalons la relation client. OrdrePhase de gestion et de suivi de la commande. Il est essentiel de soigner la qualité d’exécution afin de renforcer la confiance du client et de favoriser le processus de fidélisation.   3. SONCAS : comprendre les motivations du client Adoptée par de nombreux commerciaux, la méthode SONCAS permet d’activer les principaux leviers psychologiques qui favorisent l’acte d’achat, afin de mettre en place des argumentaires de vente ciblés. Généralement mise en œuvre dans la phase de découverte, par exemple lors d’un premier rendez-vous commercial, elle consiste à donner au client potentiel le sentiment qu’il domine l’échange, en cherchant non à lui vendre, mais à le faire acheter. Chaque lettre de SONCAS correspond à un type de motivation utile pour bien appréhender la relation client. SécuritéSi l’on en croit la célèbre pyramide des besoins de Maslow, la sécurité fait partie des besoins essentiels de l’être humain, juste après les besoins physiologiques. Il s’agit donc d’être particulièrement attentif à cette dimension pour mettre en confiance le client. OrgueilAussi présent dans la pyramide de Maslow, l’orgueil doit être compris dans le sens de l’estime de soi, du besoin de se sentir reconnu en tant que personne. L’objectif du commercial est donc de développer des arguments nourrissant l’amour-propre du client. NouveautéLe principe de nouveauté est lié à la curiosité et au besoin de changement. C’est un vecteur commercial majeur, qui joue un rôle central dans la plupart des stratégies marketing. ConfortLa notion de confort peut être rapprochée de celle de sécurité. Elle englobe à la fois le confort physique et psychologique du client, de plus en plus nécessaire avec la diffusion de nouvelles technologies, qui peuvent sembler inaccessibles aux non-initiés. ArgentPrésent quel que soit le type de vente, l’argent peut agir comme frein ou motivation à l’acte d’achat. Le rôle de la force de vente est de faire comprendre au client que son achat n’est pas une dépense plus ou moins nécessaire, mais un investissement rentable. SympathieBien que secondaire, la sympathie du vendeur peut jouer un rôle déterminant lors d’une vente. Tout commercial doit veiller à adopter une attitude ouverte et à véhiculer des messages positifs. L’écoute est une dimension essentielle de ce levier. À ne pas manquer : 4 tendances commerciales incontournables  4. CAB : construire un argumentaire de vente L’argumentaire de vente est une technique d’influence positive pratiquée par l’ensemble des équipes commerciales. Il nécessite une bonne qualité d’écoute et des questionnements adéquats pour faire évoluer la position du prospect ou du client. L’acronyme BAC ou CAB désigne trois niveaux essentiels à toute argumentation commerciale : la caractéristique, l’avantage et le bénéfice. La caractéristiqueC’est ce qui définit le produit ou le service. Essentielle pour faire comprendre l’offre, elle suscite rarement l’engouement en elle-même, sauf dans le cas de certaines innovations produisant une rupture sur leur marché. L’avantageC’est ce qui démarque le produit ou service des produits et services concurrents. Chaque caractéristique pertinente doit être traduite lors de l’argumentation par un avantage clairement identifiable par le consommateur.  Le bénéficeC’est le bienfait qui découle de la caractéristique

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Les suppléments et Amincissement des verres ophtalmiques.Par Ikram IRKHA ( Opticienne Optométriste)

Le précal permet de demander au Verrier de réaliser un verre sur-mesure, à la dimension la plus proche de celle du verre final : quand l’opticien ne demande pas un précal, il commande un verre dans son diamètre commercial. On commande un “Précal” dans les cas suivant:Hypermétrope Astigmate Inverse à partir de 1,50. (associée à un calibre de petite hauteur)Exemple +2,00 (+1,75) 10°Verre progressif convexe d’addition supérieur à 1,50 dioptrie d’addition (même sansastigmatisme).Cette fabrication spéciale permet d’obtenir le verre le plus mince possible pouvant être monté dans la monture choisie. Cette fabrication spéciale porte souvent des noms différents suivant le fabricant (Verre sur mesure, Précal,…) et même s’il existe de légères différences dans la technique d’optimisation d’un fabricant à l’autre, le principe de base est le même.Malheureusement, plus un verre a une puissance élevée, plus il est épais (épais au centre pour un verre convexe et épais au bord pour un verre concave). Les verriers ont toujours recherché à réduire l’épaisseur des verres et nous avons à notre disposition plusieurs techniques permettant de le faire :Choisir une matière d’indice de réfraction élevé : Plus la matière a un indice de réfraction élevé,moins les surfaces sont cambrées et par simple effet géométrique, on obtient des verres plus minces. Cette technique a l’avantage de pouvoir s’appliquer à tous les types de verres (verres convexes ou concaves). Malheureusement, plus l’indice d’une matière est élevée, plus elle a tendance à séparer les couleurs (faible constringence).Choisir une plus petite monture : Cela peut paraître idiot mais en réduisant les dimensions de la monture on peut réduire le diamètre nécessaire et donc l’épaisseur du verre. Il faut tout de même que la monture ne soit pas trop petite par rapport au visage et en se faisant, on réduit aussi le champ visuel du porteur.Verre tranchant allié à un diamètre spécial : Cette technique est simple à mettre en oeuvre mais ne fonctionne que sur les verres convexes (ou les verres minces au bord) et elle ne donne pas un verre le plus mince possible lorsque l’axe du cylindre est horizontal (en notation cyl+).Verre à facette. Principalement utilisé sur les très fortes puissances, le principe consiste à réduire la zone optique utilisable ce qui permet d’amincir considérablement le verre mais au détriment du champ visuel du porteur.Enfin, le verre précalibré (ou précalibrage) qui permet d’obtenir le verre le plus mince possible en tenant compte de la forme de la monture et de la position de la pupille.Le principe du calcul d’un précalibré consiste à calculer l’épaisseur tout autour du calibre de la monture, rechercher l’épaisseur au bord le plus mince puis à réduire l’épaisseur au centre pour obtenir l’épaisseur demandée au bord le plus mince. Mais qu’entendons nous par suppléments ? les suppléments sont des options qu’on ajoute pour rendre le verre le plus mince possible en conservant sa qualité optique. le pré calibrage fait partie de ces options. Les options concernées sont en général : Epaisseur spéciale Précalibrage de cotes Précalibrage digital Puissances spécialescyl supérieur à 4. Prisme jusqu’à 5 D.Base spéciale Sphère hors norme Diamètre inférieur Etc ….que nous trouvons dans chaque catalogue PVP ( Prix de vente Public ) rubrique suppléments. Vous trouvez ci dessous ma présentation sur les suppléments élaborée lors de mes études d’opticienne optométriste. Un plus grand confort. En effet, des verres amincis sont aussi plus légers. Vos lunettes de vue pèsent moins sur votre nez et sont ainsi plus agréables à porter tout au long de la journée.

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Tolérance relative à la puissance des verres ophtalmiques & Normes

Les normes des verres de lunettes Les verres de lunettes ou verres ophtalmiques étant considérés comme des produits sanitaires, ils sont soumis depuis le 14 juin 1998 aux exigences mentionnées dans la Directive européenne 93/42. Cette directive implique une série d’obligations de la part du verrier. Celui-ci doit répondre aux conditions suivantes : Caractéristiques des verres ophtalmiques fabriqués. Pour pouvoir être commercialisés dans l’Union européenne les verres de lunettes doivent, depuis le 14 juin 1998, répondre aux conditions générales suivantes : – Résistance mécanique (Norme UNE-EN ISO 14889) – Prestations optiques (Norme UNE-EN ISO 8980-1 et 2) – Inflammabilité (Norme UNE-EN ISO 14889) – Compatibilité physiologique (Norme UNE-EN ISO 14889) – Spécifications de transmission (Norme UNE-EN ISO 14889 et UNE-EN ISO 8980-3 et 4) chaque fournisseur s’assure avant de commercialiser ses verres de lunettes qu’ils ont été testés par les fabricants pour vérifier qu’ils répondent aux exigences des différentes normes et offrent donc toutes les garanties de qualité et de sécurité. Marquage des pochettes avec le symbole CE Le symbole CE est imprimé de façon visible sur toutes les pochettes des verres des fournisseurs. C’est un gage de conformité à la Directive européenne 93/42 Recommandations et restrictions d’usage des produits Les fabricants communiquent toutes les informations relatives aux recommandations et restrictions d’usage des produits. Télécharger le fichier ci dessous: Les tolérances doivent être mesurées : • au centre optique du verre pour les unifocaux,• au centre de vision de loin pour les bifocaux,• au cercle de contrôle de vision de loin pour les progressifs. La tolérance relative à la puissance est déterminée par la puissance absolue la plus élevée. N.B : Les tolérances sont calculées en cylindre positif Les tolérances optimales , voir fichier ci dessous:

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Fiche technique d’un verre ophtalmique

Nous entendons par fiche technique les paramètres suivants : Indice de réfraction Nombre d’abbé Densité Coupure UV Normalement, chaque fournisseur doit fournir une fiche technique de ses produits. En général figurent en fin de catalogue PVP ( Prix de vente Public ).  La fiche technique est un document qui regroupe les caractéristiques d’un produit classées suivant un plan et elle permet au vendeur de connaître son produit, de préparer son argumentaire et de mieux convaincre son client. 1- Indice de réfraction Voir notre article : 2-Nombre d’abbé ou constringence Voir notre article : 3-Densité Masse Volumique   La masse volumique est une valeur qui quantifie la masse par unité de volume de matériau. Elle se définit comme le rapport de la masse à son volume et s’exprime en général en gramme par centimètre cube (g/cm3). La densité  la densité est le rapport de sa masse volumique à la masse volumique d’un corps pris comme  référence. •En général, plus l’indice de réfraction d’un matériau est élevé et plus sa densité l’est aussi, puisque l’augmentation de l’indice de réfraction est obtenue par l’introduction d’atomes lourds dans la structure chimique du matériau. •Les verres les plus légers sont donc obtenus par la meilleure combinaison de minceur du verre et de légèreté du matériau c’est-à-dire par l’optimisation simultanée de l’épaisseur (indice + asphérisation + surfaçage) et de la densité. Verre minéral Matière ne Masse volumique  Crown 1.525 2.54  Flint 1.604 2.63  Minéral 1.7/35 1.705 3.20  Minéral 1.7/42 1.706 3.20  Minéral 1.8 1.807 3.70  Minéral 1.8 1.838 3.60  Minéral 1.9 1.893 4.00 Verre organique Matière ne masse  CR39 1.500 1.32   16XT 1.585 1.30  MR8 1.597 1.30  1.6 1.603 1.30   Finalite 1.604 1.23  MR7 1.665 1.35  MR10 1.666 1.37   1.7 1.710 1.40   1.74 1.746 1.40  1.76 1.760 1.49 Trivex et polycarbonate Matière ne Masse  TRIVEX 1.535 1.11  Polycarbonate 1.590 1.20 Tribrid 1,600 1.23 4-Coupure UV •Les radiations solaires qui nous parviennent sur terre sont un petit sous-ensemble du vaste domaine des vibrations électromagnétiques. Celui-ci s’étend des rayonnements cosmiques aux ondes radio-électriques. •λ = c / ν (c = vitesse de la lumière soit 300 000 km / s). RAYONS ULTRA VIOLET Les UVA  cornée et le cristallin la rétine Les UVB  la cornée. Le cristallin Les UVC la cornée bleu-violet 415-455nm affections de la rétine DMLA, lumière bleue-turquoise (480nm) Effet des ultraviolets L’irritations oculaires, de sécheresse de l’œil, de lésions de la conjonctive, de photo kératites, brûlures de la cornée comme la « cécité des neiges , la cataractes précoces et aussi d’atteintes rétiniennes Effet de la lumière bleu Dégradation des cellules rétiniennes , des photo-traumatismes de la rétine , la (DMLA) et donc de perte de l’acuité visuelle. Traitement Anti UV Ce traitement permet au verre de filtrer plus de 99% des UV. Ceci permet à la rétine de ne pas être exposée aux UV. Ce traitement est particulièrement utile lorsque l’individu porte des verres teintés ou des verres photochromiques. En effet lorsqu’un individu porte ce genre de verre, il reçoit moins de lumière. Sa pupille se dilate donc pour laisser entrer plus de lumière. Si le verre n’était pas anti-UV, l’œil recevrait alors une surdose d’UV qui pourrait abîmer la rétine. Relation entre matière et Coupure UV Matière ne Coupure  Crown 1.525 320  Flint 1.604 334  Minéral 1.7/35 1.705 340  Minéral 1.7/42 1.706 320  Minéral 1.8 1.807 332  Minéral 1.8 1.838 340  Minéral 1.9 1.893 340 OrganiqueMatière ne Coupure  CR39 1.500 355   16XT 1.585 380  MR8 1.597 390   1.6 1.603 380   Finalite 1.604 385  MR7 1.665 400  MR10 1.666 400   1.7 1.710 380   1.74 1.746 400  1.76 1.760 400 Matière ne Coupure  TRIVEX 1.535 380  Polycarbonate 1.590 385 Tribrid 1,600 395 La présentation du verre via sa fiche technique reste un élément essentiel à savoir obligatoirement les éléments présentés ci dessus. . Il s’ajoute également d’autres éléments qui peuvent aider l’Opticien à choisir le verre selon les besoins de son client à savoir le perçage du verre , sa résistance aux chocs et ses bénéfices.

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Nombre d’abbé d’un verre ophtalmique

Plusieurs appelations pour ce paramètre important pour le choix des verres de qualité. Nombre d’abbé Coefficient de dispersion Constringence ce terme défini la capacité d’une  matière transparente à décomposer la lumière blanche. C’est l’inverse du pouvoir dispersif d’une substance. Elle exprime la variation de l’indice de réfraction en fonction de la longueur d’ondes. C’est d’elles dont dépendent les irisations qui entourent les objets vus au travers des verres. Ce terme défini la capacité d’une matière transparente à décomposer la lumière blanche. Classes de constringence Faible dispersion ou constringence élevée 45 ou + Dispersion moyenne ou constringence moyenne Entre 39 et 45 Dispersion élevée ou faible constringence Moins de 39 La qualité optique L’une des particularités de la constringence ; c’est de définir la qualité optique du verre donc de la vision. Plus la constringence est élevée plus la qualité de vision de meilleure. Par exemple, chez l’enfant  le verre se défini par plusieurs facteurs ; l’indice, la constringence, la densité et le poids. Quand on choisi un verre on prend en compte l’indice mais aussi le poids et l’épaisseur, puisque plus l’indice de réfraction est élevé plus l’épaisseur diminue mais le poids a tendance a augmenter. C’est pour cela  que les mineurs portent obligatoirement des verres organiques ; ils sont moins cassants et ils répondent plus aux caractéristiques pour l’enfant. On calcule la constringence sur les couleurs extrêmes (le rouge et le bleu). défini en Europe et au Japon par ɣe et aux Etats-Unis par ɣd selon les formules . Exemple :   Soit un verre minéral d’indice 1.7 (1.7/35 Nb Abbe) dont on mesure l’indice sous plusieurs longueurs d’onde. Ces lumières sont normalisées et obtenues à l’aide de lampes spéciales . En Europe, on calcule la constringence centrée sur la raie verte (e) d’une lampe à mercure.             Ne – 1                 1.70482 – 1 Ve = ————— = ———————— = 34.4            NF’ – NC’          1.71554 – 1.69506 Aux Etats Unis, on utilise la raie jaune (d) d’une lampe à hélium.               Nd – 1             1.70000 – 1 Vd = ———— = ———————— = 34.6                 NF – NC      1.71431 – 1.69411 Lumière (raie) λ (nm) Indice F’ Cadmium 480.0 1.71554 F Hydrogène 486.1 1.71431 e Mercure 546.1 1.70482 d Hélium 587.6 1.70000 C’ Cadmium 643.8 1.69506 C Hydrogène 656.3 1.69411 Constringence et indices de réfraction des verres Un grand Merci à Ernst Karl Abbe

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Bien comprendre l’indice de réfraction d’un verre ophtalmique

L’indice d’épaisseur est en fait l’indice de réfraction du verre, voici quelques explications à ce sujet pour vous aider à faire le bon choix . De nos jours les verres correcteurs sont presque tous fabriqués en matière organique, soit en plastique et non plus en verre minéral comme ce fût le cas il y a quelques dizaines d’années. Il existe plusieurs types de plastiques utilisés pour la fabrication des verres ophtalmiques et chaque type possède un indice de réfraction qui lui est propre. Pour simplifier nous pouvons dire qu’un indice d’épaisseur (de réfraction) correspond à un matériau. Les indices les plus courants sont 1.50, 1.60, 1.67 et 1.74. La règle est simple : plus l’indice est élevé et plus le verre sera mince et léger. Si les données de corrections indiquées sur l’ordonnance sont fortes et importantes, un indice d’amincissement élevé est conseillé. Plus l’indice d’épaisseur est élevé et plus le taux de déviation de la lumière sera important.  Les verres dits “minéraux” (fabriqués en véritable verre),  offrent des possibilités de fabrication plus larges et proposent des indices d’amincissement plus élevés, de 1.80 ou 1.90. Mais ils sont très coûteux, lourds et fragiles. Ils sont donc réservés à des cas spécifiques, comme par exemple des corrections extrêmement fortes. Quel amincissement choisir en fonction de votre correction ? > Indice 1.50 Les verres d’indice 1.50 sont les plus courants. Fabriqués en plastique organique CR39 ils conviennent aux petites corrections de l’ordre de ±2. Ce matériau n’étant pas très dur le montage de verres d’indice 1.50 sur des montures de type invisibles (percées) est fortement déconseillé car cela rendrait la lunette très fragile. Raison pour laquelle vous ne trouverez pas de verres 1.50 proposés sur les montures invisibles que nous vendons. > Indice 1.60 Les verres amincis en indice 1.60 sont fabriqués en plastique organique MR8. Ils conviennent parfaitement aux corrections moyennes de l’ordre de ±4. Ils sont compatibles avec tout type de montures, y compris les montures invisibles ou percées. Pour une correction donnée, les verres amincis d’indice 1.60 permettent un gain d’épaisseur d’environ 20% par rapport aux verres normaux d’indice 1.50. > Indice 1.67 Les verres très amincis d’indice 1.67 sont généralement fabriqués en plastique organique MR7 ou MR10. Ils conviennent particulièrement  aux corrections fortes de l’ordre de ±6. Ils sont compatibles avec tout type de montures, y compris les montures invisibles ou percées. Pour une correction donnée, les verres amincis d’indice 1.67 permettent un gain d’épaisseur d’environ 35% par rapport aux verres normaux d’indice 1.50. > Indice 1.74 Les verres très amincis d’indice 1.74 sont généralement fabriqués en plastique organique MR174. Ils doivent être utilisés pour les corrections très fortes, supérieures à 6 dioptries. Le matériau MR174 n’étant pas très dur le montage de verres d’indice 1.74 sur des montures de type invisibles (percées) est fortement déconseillé car cela rendrait la lunette très fragile. Raison pour laquelle vous ne trouverez pas de verres 1.74 proposés sur les montures invisibles . Pour une correction donnée, les verres amincis d’indice 1.74 permettent un gain d’épaisseur d’environ 45% par rapport aux verres normaux d’indice 1.50. Comment faire le bon choix ? Comme expliqué ci-dessus, le choix dépend principalement de votre correction : Correction faible de -2 à +2 : indice 1.50 Correction moyenne de -4 à +4 : indice 1.60 Correction forte de -6 à +6 : indice 1.67 Correction très forte supérieure à 6 : indice 1.74 Sachez toutefois qu’il est inutile de choisir un indice d’amincissement élevé si votre correction ne le justifie pas. En effet, les procédés de fabrication font qu’une épaisseur minimale est toujours nécessaire. par exemple si votre correction est de -1.00, vous aurez quasiment la même épaisseur en indice 1.50 et en indice 1.74. Calcul d’épaisseur d’un verre ophtalmique Cliquez sur le lien suivant pour savoir l’épaisseur du verre suivant l’indice : http://www.monopticienlunetier.net/opticiens/calcul_epaisseur_verre.php Comparatif

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